"Deux dizaines de printemps et des milliers de km parcourus en solitaire à pied ou à cheval, de Mongolie en Alaska, d'Islande au grand nord canadien. Eliott Schonfeld, a transformé son quotidien en aventure permanente.
A 24 ans, il a fait de sa vie une devise et de cette devise une vie: "voyager pour vivre et vivre pour voyager".
Sur les traces de Jack London, il revient du plus septentrional Etat de l'ouest américain. Il y a passé l'été en cheminant, en canoë, sur la rivière Yukon des chercheurs d'or, et à pied à travers les montagnes et forêts refuges des grizzlis, loups et autres élans. En toile de fond, son insatiable quête "de la nature sauvage" où, dit-il, il se retrouve comme "partie d'un tout universel, loin de la technologie qui apprend à désapprendre".
Eliott Schonfeld n'a pas le "look baroudeur" communément admis dans l'imaginaire populaire. "Après mon bac S, j'ai fait une première année de prépa ingénieur", raconte-t-il à l'AFP. "J'aimais bien les maths mais j'étais fatigué d'être assis".
"Je serai aventurier", s'est-il juré. Mais il admet aussitôt : "ce n'est pas une profession".
Comme il n'est pas né avec une cuillère en or dans la bouche, il finance ses belles échappées en se pliant à divers petits boulots - il est actuellement livreur à vélo à Paris - et en recourant au crowdfunding.
https://www.eliottschonfeld.com/"
Des retours d'expériences impressionnants :
Rencontre avec ours noir en Alaska
Traversée du desert de Gobi en autonomie
et quand la question est : "Quel est le matériel essentiel à avoir pour partir ?"
Sa réponse est : "Des cartes précises, une boussole, un GPS, un briquet, une tente et un duvet."
A 24 ans, il a fait de sa vie une devise et de cette devise une vie: "voyager pour vivre et vivre pour voyager".
Sur les traces de Jack London, il revient du plus septentrional Etat de l'ouest américain. Il y a passé l'été en cheminant, en canoë, sur la rivière Yukon des chercheurs d'or, et à pied à travers les montagnes et forêts refuges des grizzlis, loups et autres élans. En toile de fond, son insatiable quête "de la nature sauvage" où, dit-il, il se retrouve comme "partie d'un tout universel, loin de la technologie qui apprend à désapprendre".
Eliott Schonfeld n'a pas le "look baroudeur" communément admis dans l'imaginaire populaire. "Après mon bac S, j'ai fait une première année de prépa ingénieur", raconte-t-il à l'AFP. "J'aimais bien les maths mais j'étais fatigué d'être assis".
"Je serai aventurier", s'est-il juré. Mais il admet aussitôt : "ce n'est pas une profession".
Comme il n'est pas né avec une cuillère en or dans la bouche, il finance ses belles échappées en se pliant à divers petits boulots - il est actuellement livreur à vélo à Paris - et en recourant au crowdfunding.
https://www.eliottschonfeld.com/"
Des retours d'expériences impressionnants :
Rencontre avec ours noir en Alaska
Traversée du desert de Gobi en autonomie
et quand la question est : "Quel est le matériel essentiel à avoir pour partir ?"
Sa réponse est : "Des cartes précises, une boussole, un GPS, un briquet, une tente et un duvet."