Je me sens nostalgique, aujourd'hui... Donc, je vous fait une présentation de mon couteau de survie Gerber BMF, sans doute le fixe que j'ai le plus utilisé au cours de ma vie, incluant un voyage (et un séjours d'un an et demi) en Centrafrique.
Sortit vers le milieux des années '80, en pleine mode "couteaux de Rambo", le BMF s'en sépare quand même par son manche non creux. Livré avec un bon étui en cordura, une petite boussole "Sylva" et une pierre à aiguiser diamantée, chaque couteau était gravé de son nº de série.
La lame type bowie fait 20cm (17.5 de tranchant) et 6mm d'épais. Emouture plate avec émouture secondaire. Elle coupe bien, pas trop dure à réaffiler, pas facile facile non plus. Le grand casse goute derrière le tranchant est idéal pour gratter un firesteel. Les serrations de la lame servent à faire de la sciure, je suppose... Parceque scier efficacement du bois avec, niet: La scie est trop courte, et surtout trop épaisse.
Le manche est en hypalon compressé moulé sur soie traversante, la garde et le pommeau (qui sert de casseur) en acier. La garde de la lame et celle du pommeau permettent plusieures types de prise, pour effectuer des travaux fins ou des coupes à la volée (et là le poids du bestiau est un grand avantage).
Pour sa taille, le BMF entre clairement dans la catégorie des couteaux de camp, pour effectuer des coupes à la volée ou du bâtonnage...
... Mais aussi s'il le faut, des travaux plus fins...
Je l'ai mis à l'écart il y a quelques années: Trop grand et trop lourd pour l'usage que j'ai d'un couteau.
Et parallèlement, je cherchais à acquerrir un couteau de camp plus moderne.
Mais j'ai changé d'avis: Si un jour j'avais effectivement besoin d'un couteau de camp, tout simplement mon Gerber BMF reprendra du service. C'est vrai qu'il est démodé... Mais ce qui fut un bon outil le restera toujours, en dépit des modes
Sortit vers le milieux des années '80, en pleine mode "couteaux de Rambo", le BMF s'en sépare quand même par son manche non creux. Livré avec un bon étui en cordura, une petite boussole "Sylva" et une pierre à aiguiser diamantée, chaque couteau était gravé de son nº de série.
La lame type bowie fait 20cm (17.5 de tranchant) et 6mm d'épais. Emouture plate avec émouture secondaire. Elle coupe bien, pas trop dure à réaffiler, pas facile facile non plus. Le grand casse goute derrière le tranchant est idéal pour gratter un firesteel. Les serrations de la lame servent à faire de la sciure, je suppose... Parceque scier efficacement du bois avec, niet: La scie est trop courte, et surtout trop épaisse.
Le manche est en hypalon compressé moulé sur soie traversante, la garde et le pommeau (qui sert de casseur) en acier. La garde de la lame et celle du pommeau permettent plusieures types de prise, pour effectuer des travaux fins ou des coupes à la volée (et là le poids du bestiau est un grand avantage).
Pour sa taille, le BMF entre clairement dans la catégorie des couteaux de camp, pour effectuer des coupes à la volée ou du bâtonnage...
... Mais aussi s'il le faut, des travaux plus fins...
Je l'ai mis à l'écart il y a quelques années: Trop grand et trop lourd pour l'usage que j'ai d'un couteau.
Et parallèlement, je cherchais à acquerrir un couteau de camp plus moderne.
Mais j'ai changé d'avis: Si un jour j'avais effectivement besoin d'un couteau de camp, tout simplement mon Gerber BMF reprendra du service. C'est vrai qu'il est démodé... Mais ce qui fut un bon outil le restera toujours, en dépit des modes