Le sujet de l'alimentation est un sujet incroyablement complexe. Un sujet qui de plus touche tout le monde et qui donc voit fleurir partout des "spécialistes".
Quand j'étais petit, j'ai eu de la chance. J'habitais soit dans la campagne Normande avec plein de fermes aux alentours et pas un McDo à la ronde (c'est venu bien plus tard chez moi), soit à l'étranger dans des coins du monde où la malbouffe n'était pas du tout connue (exception faite des sodas quand j'y pense). J'ai donc eu droit à une alimentation saine et variée en trop grosse quantité. Vu mon terroir d'origine, les produits laitiers étaient quotidiens et de toutes sortes, j'ai gardé cette habitude.
J'ai aussi vu les "dérives" successives de l'alimentaire.
Dans les années 80 : la folie des régimes et de l’aérobic.
Les années 90 : un début sur les chapeaux de roues avec une prime aux abats (il fallait faire bouffer de la cervelle aux gosses !), puis le prêt à manger, les plateaux repas tout fait, l'avènement du surgelé, du fast food et (bizarrement) du light (avec tout ce que ça draine comme saloperies).
Les années 2000 : retour du "healthy" (alicaments) et du traditionnel à la mode. Début de la déferlante du végétarisme. Continuation des scandales alimentaires, débuts des remises en question des lobbies agro-alimentaires à grande échelle.
Années 10 : mode des régimes dissociés (Dukan, hyper-protéinés...), des régimes exclusifs (vegan, sans gluten, sans sucre, sans sel...), continuation des scandales, exposition de plus en plus insistante des lobbies grâce à internet (et tant mieux), publications d'études souvent contradictoires sur les sujets de l'alimentation...
Bref, on dit tout et son contraire, souvent à peu de temps d'intervalle. A mon humble avis, il y a une raison à ça : personne ne sait ce qu'il dit vraiment. Personne ne peut dire "je connais tout les paramètres, et je maîtrise toutes les conséquences possibles sur le corps humain". Les "experts" n'attaquent le problème qu'un petit bout de la lorgnette à chaque fois. Rien de concluant ne peut sortir de ça, seulement de la confusion.
Et pour ça la confusion, on la voit bien. La preuve ici et ailleurs.
Personne ne réagit pareil à ce qu'il ingère.
Et quand ça devient trop compliqué pour moi, j'applique une règle simple que tout le monde connaît ici : KISS (Keep It Simple, Stupid!)
Donc, pour faire simple. Nous sommes des primates omnivores. Ce qui suppose que nous pouvons supposément manger de tout. Les connaissances scientifiques sont unanimes pour dire que la seule substance naturelle que nous ne pouvons traiter (hors poisons) est la cellulose.
Hormis ça, on peut manger de tout. Théoriquement.
On peut manger de tout oui, mais en quelle quantité ? Il semble que la viande rouge en trop grande quantité soit un poison, certains poissons gras si vantés se révèle des aimants à métaux lourds, les céréales ne seraient pas bonnes pour l'organisme...
A cela, il faut ajouter les éventuelles allergies vérifiées (14 allergènes différents identifiés : arachides, fruits de mer...)
Et on retombe dans le merdier.
Bref, avant de se faire un noeud aux boyaux de la tête, j'ai décidé d'aller au plus simple :
Je mange un peu de tout en privilégiant des produits le moins traités possible. Vu mon budget et mon mode de vie, c'est la seule chose à faire.
Ha, et aussi : ne pas confondre intolérance et allergie.
Quand j'étais petit, j'ai eu de la chance. J'habitais soit dans la campagne Normande avec plein de fermes aux alentours et pas un McDo à la ronde (c'est venu bien plus tard chez moi), soit à l'étranger dans des coins du monde où la malbouffe n'était pas du tout connue (exception faite des sodas quand j'y pense). J'ai donc eu droit à une alimentation saine et variée en trop grosse quantité. Vu mon terroir d'origine, les produits laitiers étaient quotidiens et de toutes sortes, j'ai gardé cette habitude.
J'ai aussi vu les "dérives" successives de l'alimentaire.
Dans les années 80 : la folie des régimes et de l’aérobic.
Les années 90 : un début sur les chapeaux de roues avec une prime aux abats (il fallait faire bouffer de la cervelle aux gosses !), puis le prêt à manger, les plateaux repas tout fait, l'avènement du surgelé, du fast food et (bizarrement) du light (avec tout ce que ça draine comme saloperies).
Les années 2000 : retour du "healthy" (alicaments) et du traditionnel à la mode. Début de la déferlante du végétarisme. Continuation des scandales alimentaires, débuts des remises en question des lobbies agro-alimentaires à grande échelle.
Années 10 : mode des régimes dissociés (Dukan, hyper-protéinés...), des régimes exclusifs (vegan, sans gluten, sans sucre, sans sel...), continuation des scandales, exposition de plus en plus insistante des lobbies grâce à internet (et tant mieux), publications d'études souvent contradictoires sur les sujets de l'alimentation...
Bref, on dit tout et son contraire, souvent à peu de temps d'intervalle. A mon humble avis, il y a une raison à ça : personne ne sait ce qu'il dit vraiment. Personne ne peut dire "je connais tout les paramètres, et je maîtrise toutes les conséquences possibles sur le corps humain". Les "experts" n'attaquent le problème qu'un petit bout de la lorgnette à chaque fois. Rien de concluant ne peut sortir de ça, seulement de la confusion.
Et pour ça la confusion, on la voit bien. La preuve ici et ailleurs.
Personne ne réagit pareil à ce qu'il ingère.
Et quand ça devient trop compliqué pour moi, j'applique une règle simple que tout le monde connaît ici : KISS (Keep It Simple, Stupid!)
Donc, pour faire simple. Nous sommes des primates omnivores. Ce qui suppose que nous pouvons supposément manger de tout. Les connaissances scientifiques sont unanimes pour dire que la seule substance naturelle que nous ne pouvons traiter (hors poisons) est la cellulose.
Hormis ça, on peut manger de tout. Théoriquement.
On peut manger de tout oui, mais en quelle quantité ? Il semble que la viande rouge en trop grande quantité soit un poison, certains poissons gras si vantés se révèle des aimants à métaux lourds, les céréales ne seraient pas bonnes pour l'organisme...
A cela, il faut ajouter les éventuelles allergies vérifiées (14 allergènes différents identifiés : arachides, fruits de mer...)
Et on retombe dans le merdier.
Bref, avant de se faire un noeud aux boyaux de la tête, j'ai décidé d'aller au plus simple :
Je mange un peu de tout en privilégiant des produits le moins traités possible. Vu mon budget et mon mode de vie, c'est la seule chose à faire.
Ha, et aussi : ne pas confondre intolérance et allergie.