Feu de bois.
Le feu est compliqué à démarrer à cause de l’humidité et il faut qu’il dépense de l’énergie pour « sécher » le combustible en dessous de 12% d’humidité et s’enflamme (environ à 300°C).
Pendant cette période de séchage, le feu ne dégage pas de chaleur et diffuse de la fumée (blanche/grise).
Pour maintenir la température d’ignition d’un feu, il faut s’assurer que la température ne descend pas en dessous de 300°C.
L’air froid, l’humidité du sol, la surcharge d’un lot de 3 à 5 branches (ou bûches) feront baisser la température du feu.
La capacité thermique du petit feu naissant ne permettra pas de maintenir la température au-dessus de 280°C et le feu « mourra ».
Il s’agit donc de bien installer vos branches (ou bûches) afin d’obtenir un bon équilibre avec l’oxygène et le combustible.
Aucun détail ne doit être négligé sous peine de perdre le feu.
La torréfaction du bois et sa carbonisation.
• (Les températures citées, ici, sont approximatives).
De la température ambiante à 160°C la totalité de l’humidité du bois disparaît.
De 160°C à 245°C, il y a torréfaction du bois, qui change de couleur et brunit.
De 245°C à 280°C, il y a carbonisation du bois, la couleur passe au noir.
Le feu (avec un apport d’air) fait acte de présence aux alentours de 300°C.
Il est probable que ces températures sont identiques pour la carbonisation du coton.
La flamme qui apparaît sur le trou de la boîte est due au fait que les gaz chauds (280°C) qui s’échappent de la boîte s’enflamment au contact de l’air.
Il est à noter que le bois Torréfié est utilisé pour la construction de véranda et barrières de jardin.
Il résiste aux UV du soleil et subit nettement moins les outrages du temps.
Aucune bestiole n’y construit son logement.
Ces vilaines bébêtes n’aiment point ce qui vient du feu, il n’est donc pas nécessaire d’ajouter une lasure. Hélas, le bois torréfié coûte cher.
Ces quelques lignes, glanées sur le net, m’ont apporté une meilleure compréhension de la vie du feu qui ravage nos bois et nous laisse pantois, parfois.
Le feu est compliqué à démarrer à cause de l’humidité et il faut qu’il dépense de l’énergie pour « sécher » le combustible en dessous de 12% d’humidité et s’enflamme (environ à 300°C).
Pendant cette période de séchage, le feu ne dégage pas de chaleur et diffuse de la fumée (blanche/grise).
Pour maintenir la température d’ignition d’un feu, il faut s’assurer que la température ne descend pas en dessous de 300°C.
L’air froid, l’humidité du sol, la surcharge d’un lot de 3 à 5 branches (ou bûches) feront baisser la température du feu.
La capacité thermique du petit feu naissant ne permettra pas de maintenir la température au-dessus de 280°C et le feu « mourra ».
Il s’agit donc de bien installer vos branches (ou bûches) afin d’obtenir un bon équilibre avec l’oxygène et le combustible.
Aucun détail ne doit être négligé sous peine de perdre le feu.
La torréfaction du bois et sa carbonisation.
• (Les températures citées, ici, sont approximatives).
De la température ambiante à 160°C la totalité de l’humidité du bois disparaît.
De 160°C à 245°C, il y a torréfaction du bois, qui change de couleur et brunit.
De 245°C à 280°C, il y a carbonisation du bois, la couleur passe au noir.
Le feu (avec un apport d’air) fait acte de présence aux alentours de 300°C.
Il est probable que ces températures sont identiques pour la carbonisation du coton.
La flamme qui apparaît sur le trou de la boîte est due au fait que les gaz chauds (280°C) qui s’échappent de la boîte s’enflamment au contact de l’air.
Il est à noter que le bois Torréfié est utilisé pour la construction de véranda et barrières de jardin.
Il résiste aux UV du soleil et subit nettement moins les outrages du temps.
Aucune bestiole n’y construit son logement.
Ces vilaines bébêtes n’aiment point ce qui vient du feu, il n’est donc pas nécessaire d’ajouter une lasure. Hélas, le bois torréfié coûte cher.
Ces quelques lignes, glanées sur le net, m’ont apporté une meilleure compréhension de la vie du feu qui ravage nos bois et nous laisse pantois, parfois.