- Monowalker Fatmate -
—————————————————————————————————
Présentation
Composé d’une structure en aluminium 6061 anodisé et assemblée par vis Torx ainsi que d’un pneu renforcé en kevlar, le Monowalker Fatmate est un chariot de randonné qui a été testé sur :
- 4000 km en Nouvelle-Zélande
- 1400 km de randonnée de Barcelone à l’Allemagne
- 965 km traversée de l’Islande du Sud au Nord
Kai Fuchs, le concepteur allemand, signale que les forces armées spéciales allemandes (KSK) ont acquis deux appareils pour essai.
La monoroue offre plus d’agilité et moins de friction qu’avec deux roues. Le système réduit de 50 à 70 % le poids initial transporté. La capacité de charge du Monowalker Fatmate est de 54 kg et +
Le poids de l’appareil avec porte-bagage (d’une capacité de charge de 25 kg) est de 11,75 kg et de 15,75 kg équipé des 3 sacs vides (2 latéraux et un central de 140 litres).
En cas de chute les boucles frontales de la ceinture iliaque peuvent être ouvertes en 1 seconde et avec un seul doigt. L’appareil peut-être équipé d’un frein à disque.
—————————————————————————————————
Essai
J’ai essayé le Monowalker seul sur un parcours d’une heure en moyenne montagne avec un peu moins d’une dizaine de kilogrammes de matériel dans les sacs.
La dernière fois que j’avais emprunté ce chemin c’était il y a dix ans… J’en avais une certaine idée… qui s’avèrera édulcorée ; au bout de 35 minutes de montée sinueuse, à force de me battre avec le chemin et de virer comme si j’étais un tracteur de semi-remorque, je me suis calmé… j’ai jeté l’éponge et j’ai fait demi-tour car je commençais à me faire mal
Je n’ai plus l’entrainement et ce malgré le vélo et mes piètres marches en plaine.
Il est évidemment plus raisonnable de faire une reconnaissance préalable avec le minimum qui va bien lorsque je serai pleinement remis de l’opération de cet été.
Le Monowalker est solide, je suis passé tant bien que mal en friction dans des virages, entre les arbres et les gros cailloux.
A ce propos il est préférable de ne pas mettre de matériel fragile dans les petites poches extérieures des sacoches latérales car elles encaissent un maximum de chocs sur sentier étroit.
Le frein me semble indispensable car il permet de bloquer la roue et de rectifier sa position ou encore de mettre le frein en activité lors de la descente afin d’éviter d’être trop poussé/tiré par le poids de l’ensemble.
Je suis redescendu en position brouette dans toute la partie escarpée afin d’avoir une meilleure vue sur les obstacles à éviter (virages) et aussi de ne pas mettre mon bassin en tension sous l’effet du poids.
Bien que les attaches de harnachement soient protégées par un tube de plastique transparent elles faisaient du bruit lors de la marche. Un peu de gaine néoprène placée sur les deux tubes de maintien devrait permettre d’éviter les bruits agaçants.
J’ai pris quelques photos du sentier et j’ai regretté d’être obligé à chaque fois de me baisser pour poser ou reprendre le Monowalker. Mais bon, c’est propre à ma condition physique.
Ci-dessous une courte vidéo qui est d’ailleurs mon premier montage
—————————————————————————————————
Présentation
Composé d’une structure en aluminium 6061 anodisé et assemblée par vis Torx ainsi que d’un pneu renforcé en kevlar, le Monowalker Fatmate est un chariot de randonné qui a été testé sur :
- 4000 km en Nouvelle-Zélande
- 1400 km de randonnée de Barcelone à l’Allemagne
- 965 km traversée de l’Islande du Sud au Nord
Kai Fuchs, le concepteur allemand, signale que les forces armées spéciales allemandes (KSK) ont acquis deux appareils pour essai.
La monoroue offre plus d’agilité et moins de friction qu’avec deux roues. Le système réduit de 50 à 70 % le poids initial transporté. La capacité de charge du Monowalker Fatmate est de 54 kg et +
Le poids de l’appareil avec porte-bagage (d’une capacité de charge de 25 kg) est de 11,75 kg et de 15,75 kg équipé des 3 sacs vides (2 latéraux et un central de 140 litres).
En cas de chute les boucles frontales de la ceinture iliaque peuvent être ouvertes en 1 seconde et avec un seul doigt. L’appareil peut-être équipé d’un frein à disque.
—————————————————————————————————
Essai
J’ai essayé le Monowalker seul sur un parcours d’une heure en moyenne montagne avec un peu moins d’une dizaine de kilogrammes de matériel dans les sacs.
La dernière fois que j’avais emprunté ce chemin c’était il y a dix ans… J’en avais une certaine idée… qui s’avèrera édulcorée ; au bout de 35 minutes de montée sinueuse, à force de me battre avec le chemin et de virer comme si j’étais un tracteur de semi-remorque, je me suis calmé… j’ai jeté l’éponge et j’ai fait demi-tour car je commençais à me faire mal
Je n’ai plus l’entrainement et ce malgré le vélo et mes piètres marches en plaine.
Il est évidemment plus raisonnable de faire une reconnaissance préalable avec le minimum qui va bien lorsque je serai pleinement remis de l’opération de cet été.
Le Monowalker est solide, je suis passé tant bien que mal en friction dans des virages, entre les arbres et les gros cailloux.
A ce propos il est préférable de ne pas mettre de matériel fragile dans les petites poches extérieures des sacoches latérales car elles encaissent un maximum de chocs sur sentier étroit.
Le frein me semble indispensable car il permet de bloquer la roue et de rectifier sa position ou encore de mettre le frein en activité lors de la descente afin d’éviter d’être trop poussé/tiré par le poids de l’ensemble.
Je suis redescendu en position brouette dans toute la partie escarpée afin d’avoir une meilleure vue sur les obstacles à éviter (virages) et aussi de ne pas mettre mon bassin en tension sous l’effet du poids.
Bien que les attaches de harnachement soient protégées par un tube de plastique transparent elles faisaient du bruit lors de la marche. Un peu de gaine néoprène placée sur les deux tubes de maintien devrait permettre d’éviter les bruits agaçants.
J’ai pris quelques photos du sentier et j’ai regretté d’être obligé à chaque fois de me baisser pour poser ou reprendre le Monowalker. Mais bon, c’est propre à ma condition physique.
Ci-dessous une courte vidéo qui est d’ailleurs mon premier montage
y a que des gens biens sur IDS 
. 
, mais ce n'est que mon avis.
mais le lendemain, jour de la prise de vue avec le drone, j’avais des douleurs dans la jambe gauche, je me suis accroché aux poignées pour éviter d’éventuelles pressions du chariot sur le bassin. 
