Sans doute avez-vous, dans vos réserves de silex, quelques pièces qui méritent d’être retaillées pour être exploitées pleinement.
Ou, plus simplement, un bout de silex dont la gangue vous gêne pour faire des étincelles.
Mais, n’étant pas un expert de la taille, votre hésitation vous fait douter du résultat.
Il est une expérience que je viens de réaliser et qui procure sensations et résultats étonnants selon la nature du silex.
Auparavant pour briser des silex j’utilisais un fort marteau et des lunettes.
Le résultat était parfois bon, parfois mauvais, selon la force de frappe du marteau et de l’humeur du maître d’œuvre.
Voici une autre méthode, elle nécessite quelques précautions d’usage et de bon sens.
1. Des lunettes (indispensable).
2. Des gants.
3. Une petite bassine d’eau.
4. Un petit chalumeau au gaz (portable ou autre).
5. Une pince.
Maintenant un exemple :
Sur la photo ci-dessous vous souhaitez garder le silex à gauche (flèche jaune) et vous débarrasser de toute la partie droite (flèche verte) qui vous embarrasse.
Méthode :
1. Mettez vos gants.
2. Mettez vos lunettes.
3. Saisissez le silex avec la pince.
4. Pointez la flamme du chalumeau sur le silex.
Explication :
La gangue ( craie, calcaire ou autre) et le silex ayant un taux de dilatation différent :
Au bout d’un temps très court, les deux éléments (unis dans la nuit des temps ) vont avoir une séparation brutale (comme un couple qui se sépare ).
Attention : la vélocité des éléments séparés est suffisante pour provoquer une blessure (mettez vos lunettes et vos gants).
Résultat : vous voilà débarrassé de la gangue.
Si le silex a subi des chocs (avant ou après être devenue votre propriété) il est possible qu’il se brise aussi.
De même que : votre chalumeau ne doit pas le chauffer excessivement (trop de dilatation).
Après cette expérience, j’ai constaté que le silex était toujours aussi performant.
Que du bénéfice donc, sans avoir à cogner au marteau comme un sourd.
Ha oui, j’oubliais ! mettez les éléments séparés dans la bassine d’eau avant de mettre les doigts dessus (ça évite d’avoir des cloques sur les doigts).
Ego sum Goudurix
Ou, plus simplement, un bout de silex dont la gangue vous gêne pour faire des étincelles.
Mais, n’étant pas un expert de la taille, votre hésitation vous fait douter du résultat.
Il est une expérience que je viens de réaliser et qui procure sensations et résultats étonnants selon la nature du silex.
Auparavant pour briser des silex j’utilisais un fort marteau et des lunettes.
Le résultat était parfois bon, parfois mauvais, selon la force de frappe du marteau et de l’humeur du maître d’œuvre.
Voici une autre méthode, elle nécessite quelques précautions d’usage et de bon sens.
1. Des lunettes (indispensable).
2. Des gants.
3. Une petite bassine d’eau.
4. Un petit chalumeau au gaz (portable ou autre).
5. Une pince.
Maintenant un exemple :
Sur la photo ci-dessous vous souhaitez garder le silex à gauche (flèche jaune) et vous débarrasser de toute la partie droite (flèche verte) qui vous embarrasse.
Méthode :
1. Mettez vos gants.
2. Mettez vos lunettes.
3. Saisissez le silex avec la pince.
4. Pointez la flamme du chalumeau sur le silex.
Explication :
La gangue ( craie, calcaire ou autre) et le silex ayant un taux de dilatation différent :
Au bout d’un temps très court, les deux éléments (unis dans la nuit des temps ) vont avoir une séparation brutale (comme un couple qui se sépare ).
Attention : la vélocité des éléments séparés est suffisante pour provoquer une blessure (mettez vos lunettes et vos gants).
Résultat : vous voilà débarrassé de la gangue.
Si le silex a subi des chocs (avant ou après être devenue votre propriété) il est possible qu’il se brise aussi.
De même que : votre chalumeau ne doit pas le chauffer excessivement (trop de dilatation).
Après cette expérience, j’ai constaté que le silex était toujours aussi performant.
Que du bénéfice donc, sans avoir à cogner au marteau comme un sourd.
Ha oui, j’oubliais ! mettez les éléments séparés dans la bassine d’eau avant de mettre les doigts dessus (ça évite d’avoir des cloques sur les doigts).
Ego sum Goudurix