Je crois que quelque part l'homme s'est perdu sur cette planète.
Au nom de je ne sais quoi - qui plus tard est devenu du profit, on a délaissé et oublié les interactions que la nature avaient elle même créée.
On commence d'y revenir avec la permaculture (de ce que j'en comprends), et des initiatives similaires à celle décrite dans l'article.
Quand j'avais un jardin communautaire, tout le monde alternait plan de tomate et basilic(? je crois), car le basilic éloignait les insectes et autres vers qui en voulaient aux tomates.
Entre les plans de vigne certains plantent je ne sais plus quelle plante pour éloigner les insectes, et donc réduire les épandages de cochoneries. En plus ils se rendent compte que moins d'épandage = plus de $ à la fin de l'année...
De telles initiatives sont à applaudir, mais mon pessimisme naturel me fait dire que se sont des actes isolés qui ne changeront rien ou pas grand chose. Les gros industriels sont trop friands d'argent et de profit pour laisser gambader des poules noires, jaunes, vertes ou bleues en liberté bouffer des insectes alors que leurs produits "miracles" peut faire la job "tellement plus mieux". On lira bientôt que la poule présente un danger sanitaire, et...
Bref. Euh... c'était ma montée de lait journalière
Bel article. Merci du partage.