Ben oui, l’un n’empêche pas l’autre !
Restons courtois avant tout, dans le code de conduite c'est primordial.
Je suis dépressif, d’où mon interrogation ; « Suis-je réellement dépressif ? ». Déprime d’hiver
Il y a quelque temps de cela, « Petite Luciole » manifestait sa désillusion en se retirant des conversations du forum.
Je suppose que ce fût par excès de rêves, par la volonté d’espérer un monde commun différent.
Petite Luciole s’est brûlée les ailes pour avoir trop pensé qu’envers et contre tous, un autre décor était souhaitable, possible, peut-être même nécessaire.
Petite Luciole ne se pointe plus depuis ses désappointements. Avons-nous, ai-je éteint la petite flamme ?
Tout change et rien ne change (ou son contraire…) disais-je récemment à ma femme.
Je traverse le désert de Petite Luciole, les étoiles apparaissent occasionnellement, puis l'impression d'être au fond du puits.
Cachées par les nuages, invisibles, les étoiles n’en demeurent pas moins présentes.
Etrange balancier d’états d’esprit, je vois j’y crois… j’espère, hélas son contraire est très pénible, c'est lassant. Néanmoins je pense que cette pénibilité subtilement dosée est nécessaire. Cela me rappelle Kolwezi et ses heures d'absence à regarder passer le ciel immobile. J’avais précédemment connu quatre états saisonniers. Là-bas je n’en percevais, vivais que deux, tout en regrettant les deux absents vibrant à la fois dans mon souvenir et dans mon imagination. Mon vécu s’entrechoquait avec la réalité de l’instant, j’étais là et ailleurs. Comme en ces moments. Merci de m'avoir lu, cela me remonte le moral.