Si, il en reste. J'en connais. Mais comme tous les jedi, ils se cachent. Et c'est aussi à nous d'être des jedi.
Concernant la notion de propriété, je pense comme Rousseau, c'est-à-dire qu'elle est à l'origine de tous les malheurs que se sont fabriqués artificiellement les humains.
Si je peux concevoir que quelques objets (vêtements, outils, armes) appartiennent à un individu (car, comme disent les Japonais, ils sont emprunts de son ki), je ne comprendrai jamais que des portions de la Terre soient la propriété d'un individu, d'un groupe ou d'un état. J'en comprends évidemment la pseudo-nécessité due à l'égoïsme, à l'agressivité et au pédantisme de l'humain moderne, mais fondamentalement je trouve cela caractéristique de l'imbécilité morale absolument crasse d'une humanité qui n'a finalement pas du tout envie de progresser dans la tolérance et dans l'amour, contrairement à ce que tout le monde ne cesse de répéter sur tous les tons.
Donc, en quoi ce vieil homme causait-il tord au "propriétaire" du lieu ? La question est cruciale.