Avec des commentaires sur le lieu de rando ou de bivouac, des retours sur le matériel utilisé, des trucs de bushcraft testés ou améliorés, des tehniques démontrées, des découvertes et des émerveillements.
C'est par le biais de ces articles que j'en suis venue à m'inscrire.
Toutes les sorties, plaisantes ou ratées, longues ou courtes, en solo ou en groupe, à la dure ou en confort, toutes étaient un prétexte à s'informer, apprendre, communiquer, créer des liens, ne serait-ce que virtuels.
Je me désolais profondément de vivre de l'autre côté de l'océan , sachant que je ne pourrais jamais rencontrer ces hommes et ces quelques femmes qui avaient les mêmes intérêts et soucis que moi.
Aujourd'hui, regardez sur la page d'accueil de cette section.
Qui présente ses sorties?
OK, on a eu des mois de confinement, moi comme vous.
OK, on n'habite pas tous à deux pas d'un lieu sauvage.
OK, la vie change. La vie nous change.
Mais alors, est-ce que je poursuis avec vous?
Résilience - Autonomie, ça va, il en est question très régulièrement.
Amitié - Solidarité, mouais,admettons, aux dates d'anniversaire
Survie - l'angle d'approche et le contexte ont changé ,mais le fond est toujours là,c'est vrai.
Survie urabine à 80%. Rurale à 19%. Qu reste-t-il pour la survie en mileu sauvage?
Bushcraft- Hein? Quoi? Ça mange quoi en hiver? comme on dit chez nous?
Je suis certaine que tout le monde ici a son couteau, son firesteel, son duct tape, sa toile et sa paracorde.
Au fond d'un sac?
D'une armoire?
En souvenir de ses vertes années?
Pas besoin d'avaler de km, de dormir sur la plus haute branche ni de bouffer du sanglier cru.
La forêt est toujours là pour redonner le souffle, la paix, le calme et le ressourcement.
Une heure, une journée, une semaine, un mois, un an.
Sortez, ça aère l'esprit et ça libère les tensions.
Le reste paraît moins loin, moins dur, moins noir après ça.