Hello à tous et à toutes,
Pour faire simple: ce matin les flics débarquent dans mon immeuble à 8h du matin. Ma cop et moi dormons a poings fermés.
Tous les policiers ont frappé à toutes les portes de notre étage (poings plus matraque - plus bruyante car bruit sec) pour savoir dans quel apartement la personne avait appelé les secours.
Un des locataire (personne TRES agée) avait fait un malaise et difficile de la trouver....car inconsciente.
Donc:
• Réveil en sursaut.
• Ma cop qui panique et moi qui commate.
• On se rend compte de la gravité de la situation et on se demande si on va devoir évacuer l'immeuble (on pensait tous les deux à un incendie généralisé).
Fausse alerte, ouf, c'est juste la police qui cherche la personne.
Bon, on retourne se coucher après une mega dose d'adrénaline matinale. mais on hésite entre et le
Du coup, énorme prise de conscience de ma part où je me rends compte que je passe du temps à vous lire mais que je vais devoir transferer mes quelques connaissances dans la mise en place du petit BOB urbain. Rien de bien exceptionnel mais suffisament pour couvrir le cas de figure dans lequel on aurait pu se trouver ce matin...et si ça avait été vraiment un incendie et qu'on était en plein hiver à 3h du matin, on aurait été vraiment bien emmerdés.
C'est décidé, et je vais me mettre à la recherche active de:
- Détecteur de fumée pour l'installer dans l'entrée.
- Petit extincteur pour la cuisine ou couverture ingnifugée.
Ça c'est pour la partie maitrise d'un potentiel incendie localisé dans l'apart.
Après, je vais commencer à réfléchir sur le sac, les affaires indispensables (documents, copies de papiers officiels, backups ordis..), fringues et outils divers.
Pour tout vous dire, notre appartement est dans un couloir qui se finit en cul de sac. Les fenêtres chez nous donnent sur une cour close car verrière fermée. Un peu le sentiment d'être pris au piège.
Si on avait dû faire face à un réel incendie, on était super mais alors super coincés...
Je voulais partager ce gros moment de flippe avec vous, car ça m'a turlupiné toute l'après-midi (et oui, il est sensible le bonhomme)...
Pour faire simple: ce matin les flics débarquent dans mon immeuble à 8h du matin. Ma cop et moi dormons a poings fermés.
Tous les policiers ont frappé à toutes les portes de notre étage (poings plus matraque - plus bruyante car bruit sec) pour savoir dans quel apartement la personne avait appelé les secours.
Un des locataire (personne TRES agée) avait fait un malaise et difficile de la trouver....car inconsciente.
Donc:
• Réveil en sursaut.
• Ma cop qui panique et moi qui commate.
• On se rend compte de la gravité de la situation et on se demande si on va devoir évacuer l'immeuble (on pensait tous les deux à un incendie généralisé).
Fausse alerte, ouf, c'est juste la police qui cherche la personne.
Bon, on retourne se coucher après une mega dose d'adrénaline matinale. mais on hésite entre et le
Du coup, énorme prise de conscience de ma part où je me rends compte que je passe du temps à vous lire mais que je vais devoir transferer mes quelques connaissances dans la mise en place du petit BOB urbain. Rien de bien exceptionnel mais suffisament pour couvrir le cas de figure dans lequel on aurait pu se trouver ce matin...et si ça avait été vraiment un incendie et qu'on était en plein hiver à 3h du matin, on aurait été vraiment bien emmerdés.
C'est décidé, et je vais me mettre à la recherche active de:
- Détecteur de fumée pour l'installer dans l'entrée.
- Petit extincteur pour la cuisine ou couverture ingnifugée.
Ça c'est pour la partie maitrise d'un potentiel incendie localisé dans l'apart.
Après, je vais commencer à réfléchir sur le sac, les affaires indispensables (documents, copies de papiers officiels, backups ordis..), fringues et outils divers.
Pour tout vous dire, notre appartement est dans un couloir qui se finit en cul de sac. Les fenêtres chez nous donnent sur une cour close car verrière fermée. Un peu le sentiment d'être pris au piège.
Si on avait dû faire face à un réel incendie, on était super mais alors super coincés...
Je voulais partager ce gros moment de flippe avec vous, car ça m'a turlupiné toute l'après-midi (et oui, il est sensible le bonhomme)...