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pêche et survie

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Living Dead
Campeur
6 participants

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1pêche et survie Empty pêche et survie Dim 29 Mai 2022 - 19:50

Campeur

Campeur
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je n'y connais absolument rien, mais comme je me penche régulièrement sur des scénario d'évacuation, je me dis que dans une situation fortement dégradée, ça peut venir nourrir la troupe.

d'où un certain nombre de questions :

quelles espèces de poissons peut on pêcher facilement dans nos rivières et étangs, ou encore en bord de mer ?

y a t'il des espèces qui ne sont pas comestibles ?

les puristes me diront que chaque biotope, demande un matériel adéquat, mais y a t'il du matos passe partout ?

quel est le matériel le minimum pour pouvoir assurer un minimum  Very Happy

j'ai trouvé cette vidéo qui explique le b a ba du montage du ligne que je trouve plutôt bien foutu, vu que j'ai compris des choses  pêche et survie 13909970

Branch aime ce message

2pêche et survie Empty Re: pêche et survie Dim 29 Mai 2022 - 20:10

Living Dead

Living Dead

Amha et après de nombreuses sessions  de pêche à la ligne en rivière, pour sortir de quoi nourrir une tribu sur du moyen terme, les techniques legales ne sont pas les plus rentables... Filets, nasses et autres seront beaucoup plus efficaces.
Pour le matos, D4 permet de s'équiper sans (trop) se ruiner.
Les poissons blancs sont mangeables ( gardons , ablettes). Brochets, perches, truites et j'en passe.

Campeur et tom sawyer aiment ce message

3pêche et survie Empty Re: pêche et survie Dim 29 Mai 2022 - 20:51

Corazon

Corazon
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Le matériel montré dans la vidéo c'est pour les petits poissons, si une carpe vient y mordre, tu casseras.
Une canne à lancer polyvalente, avec un moulinet te donne nettement plus de possibilités.  Le D4 suggéré par Living Dead fournit du matériel tout à fait convenable pour un budget serré.

La pêche peut prendre pas mal de temps, car le poisson n'est pas toujours d'humeur à mordre.  C'est pourquoi en "technique de survie", il est plutôt conseillé de mettre des lignes de fond, qui vont pêcher à ta place et te laisser du temps à d'autres tâches importantes.

A ma connaissance, il n'y a pas de danger à manger des poissons d'eau douce dans nos contrées, par contres, certains on un goût de vase (Silure, carpe) !  Les meilleurs sont généralement les carnassiers (Perche, sandre, truite, brochet), mais ce ne sont pas les plus facile à prendre.

PS : le matériel pro est déconseillé aux débutants.  Il est excellent pour la tâche prévue (rarement polyvalent), mais surtout beaucoup plus sensible à la casse (teneur en carbone très élevée).  Une canne en fibre de verre est quasi incassable.

La plus solide :

Campeur, Branch et tom sawyer aiment ce message

4pêche et survie Empty Re: pêche et survie Lun 30 Mai 2022 - 10:47

wartog

wartog

Pour une évacuation en mode dégradé je ne prendrais sans doute pas de canne ou alors juste dans la voiture.

J'opterais plutôt pour quelques pièges à poissons bricolés avec des bouteilles plastique (il y en a parfois plein les berges) et une palangre appâtée avec le fretin pris au piège.

Les carnassiers sont quand même nettement meilleurs mais chez moi on ne consomme plus l'anguille suite aux taux de polluants monstrueux retrouvés dans les prélèvements.

Une nasse à écrevisse ça se glisse facilement dans un sac et ça peut servir comme les dispositifs précédents en bord de mer comme en eau douce.

Pour les appâts marins ça se déniche facilement sur la plage ou les rochers, restes de poissons pris. En eau douce tout ce qui rampe, court ou vole et qui représente une bouchée mangeable fera l'affaire.

Après rien n'empêche de prévoir une petite canne et une boite de matériel allégée si par exemple on passe par une pêcherie à truite, mais il faudra peut être négocier avec le propriétaire.Rolling Eyes

Campeur aime ce message

5pêche et survie Empty Re: pêche et survie Mer 1 Juin 2022 - 18:32

Campeur

Campeur
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merci pour ls conseils !!!

6pêche et survie Empty Re: pêche et survie Ven 26 Jan 2024 - 7:56

№ 65

№ 65

Bonjour a tous,
Je suis du même avis que Living Dead.
Ne pas oublier que beaucoup de monde aura la même idée, la population piscicole vas s’effondrait.
Ne pas oublier aussi que le fils de pêche se détériore dans le temps, il y a plus de boutique d'article de pêche. Il faut que sa dure des années.


Les engins de pêche sont beaucoup plus performant
N°65

7pêche et survie Empty Re: pêche et survie Ven 26 Jan 2024 - 8:44

Corazon

Corazon
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Avoir l'idée d'aller à la pêche c'est une chose, prendre du poisson, une autre.
Si tu ne sais pas déjà pêcher, oublie le !  Le poisson est "éduqué" et il faut de plus en plus ruser pour le prendre.
Avant que la population piscicole des fleuves soit épuisée, la majorité des personnes seront déjà mortes de faim !

Si tu ne trouves plus du matériel de pêche (très courant), tu auras encore moins de chance de trouver des filets/nasses.

Teacher aime ce message

8pêche et survie Empty Re: pêche et survie Ven 26 Jan 2024 - 9:28

№ 65

№ 65

Bonjour Corazon,
Les poissons, je les connais sa fait quelque décennie que j’élève du poissons. Je connais très bien le comportement des Percidae, Cyprinidae, etc... principal famille qui sont dans nos eaux.
La population piscicole à déjà était réduite à néant lors de la Grande famine de 1315-1317. tout les poissons que tu à de nos jours vienne d’Amérique du Nord, d'Europe de l'Est ou d'Asie.
Non les poissons ne mourront pas de faim, mais d'oxygène. Avec l'augmentation des température, le taux d'oxygène vas se réduire et ils ne sont pas adapté à avoir de telle taux faible d'oxygène.
Ils ont besoin de 9,1 mg/l O² à 5 °C - 7,8 mg/ O² à 20 °C, avec le réchauffement l'eau est à 7,4 ml/ O² à 25 °C et à 6,9 mg/l à 30 °C.


C'est pour sa qu'il faut prévoir les engins de pêche avant.
N°65

9pêche et survie Empty Re: pêche et survie Ven 26 Jan 2024 - 21:10

Corazon

Corazon
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C'est totalement impossible pour plusieurs raisons !

Les méthodes de pêches du 14ème siècle n'étaient pas du tout assez performantes pour épuiser la population piscicole.
Il n'existait aucun relevé de la population piscicole.  Même maintenant on n'a pas de chiffres sur la quantité de poisson présente dans nos cours d'eau !!!
Les cyprinidés ont justement besoin de nettement moins d'oxygène, ils sont hyper résistants.  C'est exactement cette résistance qui fait qu'au moyen âge on a mis des cyprinidés dans tous les plans d'eau (les marres, les douves, les étangs, ...), afin d'avoir des réserves de protéines en cas de coup dur.

Il y a maintenant des milliards de gobies (espèce invasive) qui nourrissent les carnassiers et les dernières années, on ne cesse de prendre plus de carnassiers et des plus gros.  On constate aussi une énorme reproduction de gardons et d'aspes lors des été chauds.  Cette dernière décennie années, on peut voir des plaques de plusieurs centaines de mètres d'alevins à la surface.

10pêche et survie Empty Re: pêche et survie Dim 28 Jan 2024 - 9:50

№ 65

№ 65

Bonjours à tous,
Désolé pour le retard des réponses, il à fallu que je face des recherches n'étant pas dans ma zone de confort sur la pêche et faire le poste, je suis a merveille dans le monde de l'ichtyologie et des milieux aquatiques.
Pour le moment je n’aie voulu être général et léger, mais comme on m'invite à être plus précis et lourd, alors j'y vais.

Corazon à dit “Les méthodes de pêches du 14ème siècle n'étaient pas du tout assez performantes pour épuiser la population piscicole.”
Là je veux des précitions...
A l'époque il n'y avez que le bois, pierre, chanvre, lin, laine, fer pour faire des engins de pêche (épervier, seine, panier, nasse, etc...) est il était et sont très performant. Il suffit de regarder c'est même engins à travers le monde pour s'en rendre contre.

Le nylon lui n'a était inventé seulement dans les années 1935, bien sur il à eu des recherches et développements pour avoir les produits de nos jours.

J'ai parler de la Grande famine de 1315-1317 pour faire court et simple, mais il y a bien sur bien d'autre famine à travers les siècles. Mais il y a eu La grande famine de 1693-1694 dans la même période on peut citer les disettes et famines de 1660 à 1664 durant 5 années qui suite, etc....

Bien sur à toute c'est époque il n'y avez PAS de répertoire sur les animaux, végétaux, sais à partir de Carl Linnæus, puis Carl von Linné après son anoblissement, naturaliste suédois né le 23 mai 1707, mort le 10 janvier 1778 qu'il y a eu un répertoire. La hiérarchie des classifications (la systématique) qu'il met en avant s'impose au XIXe siècle comme la nomenclature standard. J'en fini là, sinon j'en fait un roman.

Corazon à dit “Même maintenant on n'a pas de chiffres sur la quantité de poisson présente dans nos cours d'eau !!!”
Si vous n'avez pas les chiffres en Belgique en Frantaxe ont les à (Fédération de Pêche).

Corazon à dit “Les cyprinidés ont justement besoin de nettement moins d'oxygène, ils sont hyper résistants. C'est exactement cette résistance qui fait qu'au moyen âge on a mis des cyprinidés dans tous les plans d'eau (les marres, les douves, les étangs, ...), afin d'avoir des réserves de protéines en cas de coup dur.”

C'est pour ça que sur les centrales nucléaire qu'il est INTERDIT de rejeté de l'eau de refroidissement à + de 27 °C, pour la préservation de la population piscicole ¿?

Si tu veut parler d'un poisson hyper résistant, parle de Oreochromis alcalicus connu uniquement dans le bassin versant du lac Natron, en Tanzanie et au Kenya. Se produit dans une plage de température de 30 à 32 °C avec un pH de 9.5 – 10.5, c'est de la folie, mais il y a d'autres.

Les cyprinidés sont pas des poissons relativement résistant, ils dégage assez vite.

Je suis pas tout à fait d'accord et des ami(e)(s), connaissance non plus sur toute la véracité de cette basse.
Je les prise pour une question de rapidité et de simplicité, mais il vaudrez cherché sur d'autres basses.
J'ai fait un tri pour avoir seulement la distribution des animaux qui nous intéresse dans cette discussion pour nos deux pays, sinon sa fait des listes à en pas finir.
Je déteste les noms communs préfère les noms latins sa évide des confusions et les listes de nom commun. En plus sa vous fera chercher les noms communs pour chaque pays !! lol

La suite ...

11pêche et survie Empty Re: pêche et survie Dim 28 Jan 2024 - 9:55

№ 65

№ 65

Belgique

Abramis brama Origine : indigène. Europe et Asie : la plupart des bassins versants européens de l’Adour (France) à la Petchora (bassin de la mer Blanche) ; Bassin de la mer Égée, dans les bassins versants du lac Volvi et de la Struma et de Maritza. Naturellement absent de la péninsule ibérique, du bassin adriatique, de l’Italie, de l’Écosse, de la Scandinavie au nord de Bergen (Norvège) et du 67°N (Finlande). Introduit localement en Irlande, en Espagne et dans le nord-est de l’Italie. En Asie, du bassin de Marmara (Turquie) et vers l’est jusqu’au bassin d’Aral. Introduit dans le lac Baïkal et les bassins versants du cours supérieur de l’Ob et de l’Ienisseï.

Acipenser sturio Origine : indigène. Atlantique Est : la seule population reproductrice restante se trouve dans le bassin versant de la Garonne en France. Utilisé pour aller de la Norvège au golfe de Gascogne, y compris la mer du Nord, les côtes européennes de l’Atlantique, le nord de la Méditerranée vers l’est jusqu’à Rhodes, l’ouest et le sud de la mer Noire ; occasionnellement observé en mer Blanche, en Islande, au Maroc et en Algérie. Anadrome, dans la plupart des grands fleuves, mais non signalé du Danube en amont du delta. Des études récentes sur l’ADN à partir de spécimens de musée ont révélé que cette espèce coexiste avec A. naccarii de la mer Adriatique à la péninsule ibérique. Plusieurs différences de séquences d’ADN ont été trouvées entre les individus de l’espèce de la population de la Gironde et de la mer du Nord et de la mer Baltique, ce qui montre que les différentes populations d’A. Sturio sont génétiquement divergentes.

Alburnoides bipunctatus Origine : indigène. Europe et Asie : le bassin versant de la Loire en France vers l’est, dans presque tous les fleuves qui se jettent dans le sud de la mer Baltique, de la mer du Nord, de la mer Noire et de la mer d’Azov ; le bassin de la Caspienne, dans la haute Volga et du bassin versant de la Koura vers le sud jusqu’aux affluents iraniens de la Caspienne ; largement répandue en Iran. Dans le bassin méditerranéen, uniquement dans le Rhône et quelques petits bassins versants côtiers de la Provence (France) vers l’est jusqu’à Gênes (Italie), Aoos (Grèce, Albanie) et l’ouest de la Grèce jusqu’au sud du bassin versant de Sperchios. Dans le bassin de Marmara, dans l’ouest de l’Anatolie, au sud du bassin versant de la Grande Menderes et dans les bassins versants de l’Euphrate supérieur et du Tigre. Bassins versants de l’Aral, du haut Amou-Darja et du Karakumskij (Tukménistan, Afghanistan).

Alburnus alburnus Origine : indigène. Europe et Asie : la majeure partie de l’Europe au nord du Caucase, des Pyrénées et des Alpes, à l’est jusqu’à l’Oural et l’Emba. Naturellement absent de la péninsule ibérique, des bassins de l’Adriatique et de la mer Égée (à l’exception du bassin de Maritza), de l’Italie, de l’Irlande, de la Grande-Bretagne (sauf au sud-est), de la Norvège et de la Scandinavie au nord du 67°N, du bassin de la Caspienne au sud de la Volga. En Anatolie, bassin de Marmara. Introduit localement en Espagne, au Portugal et en Italie. Au moins un pays fait état d’un impact écologique négatif après l’introduction.

Alosa alosa Origine : indigène. Atlantique oriental : du sud de la Norvège et le long des côtes de l’Europe jusqu’au nord de la Mauritanie, y compris la mer Baltique occidentale jusqu’à l’oblast de Kaliningrad, la partie occidentale de la mer Méditerranée et les côtes de l’Afrique du Nord. Cependant, actuellement il n’est actuellement que très localement distribué hors de France, victime de la pollution et de la retenue des grands fleuves dans toute l’Europe.

Ameiurus melas Origine : introduction. Amérique du Nord : des Grands Lacs au nord du Mexique. La confusion sur le statut taxonomique de cette espèce avec Ameiurus nebulosus a entraîné plus de doutes quant à savoir lequel des deux est présent dans certains pays. En Europe, il forme des populations denses et rabougries, ce qui le rend impopulaire. Plusieurs pays font état d’un impact négatif sur l’environnement après l’introduction. En Europe, des populations autosuffisantes ont été enregistrées dans les bassins versants de l’Èbre et du Tage (péninsule ibérique), dans la plupart des bassins versants de France, localement en Italie, aux Pays-Bas et en Allemagne ; distribution pourrait être plus large.

Ameiurus nebulosus Origine : introduction. Amérique du Nord : bassins versants de l’Atlantique et du golfe du Mexique de la Nouvelle-Écosse et du Nouveau-Brunswick au Canada jusqu’à la baie de Mobile en Alabama aux États-Unis ; Bassins du Saint-Laurent, des Grands Lacs, de la baie d’Hudson et du fleuve Mississippi, du Québec à l’ouest jusqu’au sud-est de la Saskatchewan au Canada, et au sud jusqu’à la Louisiane, aux États-Unis. Introduit dans plusieurs pays. Plusieurs pays font état d’un impact négatif sur l’environnement après l’introduction.

Anguilla anguilla Origine : indigène. Océan Atlantique : côte atlantique de la Scandinavie au Maroc ; mer Baltique, mer Noire et mer Méditerranée ; fleuves de l’Atlantique Nord, de la mer Baltique et de la mer Méditerranée. Introductions continues à l’Asie et à l’Amérique du Sud et centrale. Zone de frai dans l’ouest de l’Atlantique (mer des Sargasses). Au moins un pays fait état d’un impact écologique négatif après l’introduction. Des études récentes sur l’ADN génomique montrent que l’anguille européenne présente un isolement à distance, ce qui implique qu’il existe un accouplement non aléatoire et un flux génétique restreint entre les anguilles provenant de différents endroits. L’existence de 3 sous-populations génétiquement distinctes est suggérée : une sous-population d’Europe du Nord (constituée principalement des stocks islandais) ; une sous-population d’Europe occidentale (y compris la mer Baltique, la Méditerranée et la mer Noire) ; une sous-population méridionale (y compris les stocks du Maroc).

Barbatula barbatula Origine : indigène. Eurasie : Europe au nord du Caucase, des Pyrénées et des Alpes, des bassins versants de la Loire et du Rhône vers l’est ; les îles britanniques (à l’exception du nord de l’Écosse), le sud de la Suède et de la Finlande (vers le nord jusqu’à environ 66°N) ; nord-est de l’Italie ; les bassins versants du Danube et du Vardar ; De l’Asie à la Chine.

Barbus barbus Origine : indigène. Europe : au nord des Pyrénées et des Alpes, de l’Adour (France) vers l’est jusqu’aux bassins versants du Niémen (Lituanie, Russie), dans les fleuves qui se jettent dans l’Atlantique, la mer du Nord et le sud de la mer Baltique ; les bassins versants du Danube au Dniepr dans le nord du bassin de la mer Noire ; sud-est de l’Angleterre au nord du Yorkshire. On le trouve presque partout dans les bassins versants méditerranéens de la France. Introduit localement dans le nord et le centre de l’Italie, les rivières Wear, Tees et Medway et la plupart des bassins versants de l’ouest de l’Angleterre.

Blicca bjoerkna Origine : indigène. Europe et Asie : bassins du Nord, de la Baltique, de la mer Blanche, de la mer Noire (au sud jusqu’au bassin versant de Rioni) et de la mer Caspienne, bassin atlantique vers le sud jusqu’au bassin versant de l’Adour (France ; éventuellement introduit au sud de la Loire) et bassin méditerranéen en France (bassins versants de l’Hérault et du Rhône). Dans les bassins de l’Aral, de Marmara et de la mer Noire anatolienne, à l’ouest d’Ankara. Naturellement absent de la péninsule ibérique, de l’Italie, du bassin adriatique, de la Crimée, de la Grande-Bretagne (sauf le sud-est), de la Scandinavie au nord de Sundsvall (Suède) et du 65° N (Finlande). Introduit localement en Espagne et dans le nord-est de l’Italie ; en France, apparemment introduite dans les petits bassins versants côtiers du Var.

Carassius auratus Origine : introduction. Asie : originaire d’Asie de l’Est, de Chine et du Japon. Introduit ailleurs. dans le monde entier, avec des impacts écologiques négatifs signalés après l’introduction.

Carassius carassius Origine : introduction. Eurasie : bassins du Nord, de la mer Baltique, de la mer Blanche, de la mer de Barents, de la mer Noire et de la mer Caspienne ; Bassin de la mer Égée uniquement dans le bassin versant de Maritza ; vers l’est jusqu’au bassin versant de la Kolyma (Sibérie) ; vers l’ouest jusqu’au Rhin et les bassins versants de l’est de l’Angleterre. Absent du bassin de la mer du Nord en Suède et en Norvège. Dans le bassin de la Baltique au nord jusqu’à environ 66°N. Largement introduit en Italie, en Angleterre et en France, mais peut-être souvent confondu avec Carassius gibelio. Au moins un pays fait état d’un impact écologique négatif après l’introduction.

Carassius gibelio Origine : introduction. Europe et Asie : généralement considéré comme originaire d’Europe centrale en Sibérie ou introduit dans les eaux européennes depuis l’Asie de l’Est. Il n’existe pas de données claires et définitives sur la distribution originale en Europe en raison de l’introduction, de la confusion avec Carassius auratus et de la complexité des modes de reproduction. À l’heure actuelle, il est largement répandu et couramment stocké avec Cyprinus carpio qui est transporté dans toute l’Europe. Absent dans le nord du bassin de la Baltique, en Islande, en Irlande, en Écosse et dans les îles méditerranéennes.

Chelon auratus Origine : indigène. Atlantique Est : de l’Écosse au Cap-Vert ; en Méditerranée et en mer Noire. Egalement dans les eaux côtières du sud de la Norvège au Maroc, rare au large de la Mauritanie. Les mentions de la lagune d’Accra sont probablement des erreurs d’identification.

Chelon labrosus Origine : indigène. Atlantique Est : Scandinavie et Islande au sud jusqu’au Sénégal et au Cap-Vert. Aussi la mer Méditerranée ; sud-ouest de la mer Noire.

Chelon ramada Origine : indigène. Atlantique oriental : des côtes du sud de la Norvège au Cap-Vert, en passant par la Méditerranée et la mer Noire. Les mentions de sa présence dans les eaux tropicales sont basées sur des erreurs d’identification.

Chondrostoma nasus Origine : indigène. Europe : Bassins de la mer Noire (bassins versants du Danube, du Dniestr, du Boug du Sud et du Dniepr), du sud de la Baltique (Niéman, Odra, Vistule) et du sud de la mer du Nord (à l’ouest jusqu’à la Meuse). Envahissante ou introduite dans les bassins versants du Rhône, de la Loire, de l’Hérault, de la Seine (France) et de la Soca (Italie, Slovénie). Les rapports du bassin versant du Drin, y compris les lacs d’Ohrid et de Skadar, représentent une espèce distincte. Asie : Turquie.

Cobitis taenia Origine : indigène. Europe et Asie : bassins versants de l’Atlantique de la Loire vers le nord ; bassin de la Baltique au sud de 61°N ; bassins versants du cours supérieur de l’Olga et de l’Oural ; bassin nord de la mer Noire (à l’exception du Danube). Des mentions anciennes des bassins versants de l’Ardour et de la Garonne en France doivent être confirmées.

Coregonus lavaretus Origine : introduction. Europe : Originaire du lac du Bourget (France) et de Genève (Suisse, France). Population du lac d’Aiguebelette (France) apparemment introduite, mais un 'lavaret' y avait déjà été signalé au 17ème siècle. D’autres auteurs supposent qu’il s’agit d’une super-espèce présente en Grande-Bretagne et dans les régions alpines d’Europe centrale. A été stocké dans de nombreux autres endroits en Europe en dehors de son aire de répartition naturelle. Il existe de nombreux noms scientifiques parallèles et erronés pour cette espèce en raison des problèmes de classification du genre Coregonus. Asie : introduite en Iran.

Coregonus nasus Origine : introduction. Eurasie et Amérique du Nord : tous les bassins versants de l’océan Arctique de Volonga et Pechora à l’Alaska.

Coregonus oxyrinchus Origine : indigène. Europe : plusieurs pays d’Europe centrale et orientale. Atlantique Nord-Est : de l’Irlande aux Pays-Bas, à l’Allemagne et aux pays riverains de la mer Baltique. Les stocks maritimes sont peut-être éteints.

Coregonus peled Origine : introduction. Europe et Asie : lacs et rivières de Mezen à la Kolyma, Russie. Au moins un pays fait état d’un impact écologique négatif après l’introduction.

Cottus gobio Origine : indigène. Europe : au nord de la Baltique en Scandinavie, au sud jusqu’au cours d’eau Maurine au sud-ouest, dans la partie la plus éloignée du bassin de la Baltique (Allemagne) ; cours inférieur des ruisseaux et des rivières et le long des côtes de la Suède, de la Finlande et de la Russie vers le sud-ouest jusqu’à l’Estonie. le Danube (à l’exception des affluents supérieurs de la Save et de l’Arges), les bassins versants de l’Elbe, de l’Ems, de la Weser et du Rhône ; les affluents du Rhin supérieur en aval (vers le nord) jusqu’aux environs de Mannheim ; quelques-uns des affluents supérieurs du Tibre, dans le centre de l’Italie ; Bassins versants de l’Adriatique de Potenza en Italie à Zrmanja en Croatie, à l’exception de la source de Timavo. Introduit localement dans le bassin versant de l’Escaut en Belgique. Les mentions de chabots du bassin versant de la Neretva en Bosnie-Herzégovine appartiennent peut-être à Cottus gobio.

Cottus perifretum Origine : indigène. Europe : Grande-Bretagne ; Bassins versants de l’Atlantique de la Garonne (affluents du Massif central) à l’Escaut en France et en Belgique. Également dans les rivières Moselle et Sieg en Allemagne. Pourrait également être présent dans d’autres grands affluents du Rhin, le tronçon français du Rhin supérieur et la basse Meuse. Envahissante dans le drainage du Rhin en Allemagne et aux Pays-Bas, atteignant l’amont (Southwar) jusqu’à Karlsruhe. Cette population envahissante du Rhin est un intermédiaire entre Cottus perifretum Cottus rhenanus et forme un groupe génétique distinct sur l’ensemble de son aire d’expansion.

Ctenopharyngodon idella Origine : introduction. Asie : Chine orientale et Russie en Sibérie orientale, système fluvial de l’Amour. Largement transporté dans le monde entier. Persiste uniquement en Europe par empoissonnement . Les introductions apportaient souvent avec elles le ténia parasite Bothriocephalus opsarichthydis (synonyme de B. acheilognathi). Plusieurs pays font état d’un impact négatif sur l’environnement après l’introduction.

Cyprinus carpio Origine : introduction. De l’Europe à l’Asie : bassins de la mer Noire, de la mer Caspienne et de la mer d’Aral. Introduit dans le monde entier. Les stocks sauvages ne sont présents à l’état naturel que dans les rivières qui se jettent dans la mer Noire, la mer Caspienne et la mer d’Aral. On suppose qu’une population sauvage réophile du Danube est à l’origine de l’espèce européenne ; cette population est aujourd’hui menacée.

Esox lucius Origine : introduction. Circumpolaire en eau douce. Amérique du Nord : bassins de l’Atlantique, de l’Arctique, du Pacifique, des Grands Lacs et du Mississippi, du Labrador à l’Alaska et au sud jusqu’en Pennsylvanie et au Nebraska, aux États-Unis. Eurasie : Caspienne, Noire, Baltique, Blanche, Barents, Arctique, mer du Nord et d’Aral et bassins de l’Atlantique, au sud-ouest jusqu’au bassin versant de l’Adour ; Bassin méditerranéen dans le bassin versant du Rhône et dans le nord de l’Italie. Largement répandu en Asie centrale et en Sibérie jusqu’au bassin versant de l’Anadyr (bassin de la mer de Béring). Historiquement absent de la péninsule ibérique, de la France méditerranéenne, du centre de l’Italie, du sud et de l’ouest de la Grèce, de l’est du bassin adriatique, de l’Islande, de l’ouest de la Norvège et du nord de l’Écosse. Largement introduit et transloqué dans toute l’Europe. Plusieurs pays font état d’un impact négatif sur l’environnement après l’introduction.

Gasterosteus aculeatus Origine : indigène. Régions circumarctiques et tempérées : S’étendant vers le sud jusqu’à la mer Noire, le sud de l’Italie, la péninsule ibérique, l’Afrique du Nord ; en Asie de l’Est au nord du Japon (35°N), en Amérique du Nord au nord de 30-32°N ; Groenland.

Gobio gobio Origine : indigène. Europe : bassins de l’océan Atlantique, de la mer du Nord et de la mer Baltique, du bassin versant de la Loire vers l’est, de l’est de la Grande-Bretagne, des bassins versants du Rhône et de la Volga, du Danube supérieur et des bassins versants du Dniestr moyen et supérieur et du Dniepr ; en Finlande, au nord jusqu’à environ 61°N. Introduit dans l’est et le nord de l’Italie, en Irlande, au Pays de Galles et en Écosse. Les limites orientale et méridionale ne sont pas claires. Se rencontre aussi loin à l’est que la Corée. Les populations de la péninsule ibérique et du bassin de l’Adour, dans le sud de la France, sont rattachées à G. lozanoi. Les populations du bassin de la Caspienne peuvent représenter une espèce distincte.

Gymnocephalus cernua Origine : indigène. Europe : bassins de la mer Caspienne, de la mer Noire, de la mer Baltique et de la mer du Nord ; Grande-Bretagne; nord jusqu’à environ 69° N en Scandinavie. Asie : bassin de la mer d’Aral, bassin de l’océan Arctique vers l’est jusqu’au bassin versant de la Kolyma. Plusieurs pays font état d’un impact négatif sur l’environnement après l’introduction.

Hypophthalmichthys molitrix Origine : introduction. Asie : Originaire de la plupart des principaux dainages du Pacifique de l’Asie de l’Est, de l’Amour à Xi Jiang, en Chine et à Hanoï, au Vietman. Introduit dans le monde entier pour l’aquaculture et le contrôle des proliférations d’algues. Plusieurs pays font état d’un impact négatif sur l’environnement après l’introduction. Souvent confondu avec Hypophthalmichthys nobilis.

Lampetra fluviatilis Origine : indigène. Europe : du sud de la Norvège à la France, en passant par l’Irlande et les îles britanniques. Également dans la mer Baltique et le long des côtes françaises et italiennes occidentales de la mer Méditerranée. Absent de la mer Noire, de la mer Caspienne et de la mer Polaire. Populations enclavées du lac Mjosa en Norvège, des lacs Ladoga et Onega, de la haute Volga en Russie, du Loch Lomond en Écosse, de certains lacs finlandais et peut-être du Lough Neagh en Irlande.

Lampetra planeri Origine : indigène. Europe : Grande-Bretagne au nord jusqu’aux hautes terres écossaises, rivières qui s’écoulent vers la mer du Nord au nord de l’Écosse et autour de Stavanger (Norvège), bassin de la mer Baltique, Atlantique jusqu’au sud du bassin versant de l’Adour (France, Espagne) et populations isolées dans les bassins versants du Sado, du Tage et du Douro (Portugal), bassin méditerranéen en France et dans l’ouest de l’Italie (vers le sud jusqu’au bassin versant du Cilento). Localement en Irlande, la haute Volga, le haut Danube et certains de leurs affluents et le drainage de la Pescara sur la côte adriatique de l’Italie.

Lepomis gibbosus Origine : introduction. Amérique du Nord : Nouveau-Brunswick au Canada jusqu’à Savannah River en Géorgie, États-Unis ; Bassins des Grands Lacs, de la baie d’Hudson (rivière Rouge) et du cours supérieur du Mississippi, du Québec à l’ouest jusqu’au sud-est du Manitoba et au Dakota du Nord, et au sud jusqu’au nord du Kentucky et du Missouri, aux États-Unis. Introduit dans les bassins hydrographiques du Pacifique, de la Colombie-Britannique à la Californie. Plusieurs pays font état d’un impact négatif sur l’environnement après l’introduction.

Leucaspius delineatus Origine : introduction. Europe et Asie : du Bas-Rhin et du nord de l’Allemagne vers l’est jusqu’au sud du bassin de la Baltique ; Bassin du Sud-Est noir au sud jusqu’au bassin versant de Rioni, bassin nord et ouest de la Caspienne (sud jusqu’au bassin versant de Kura) ; Bassin de la mer Égée (de Maritsa à Nestos). Absent en Italie, dans le bassin adriatique, en Grande-Bretagne et en Scandinavie (à l’exception de la Suède la plus méridionale). Largement introduit en France, dans le bassin versant du Rhin supérieur et localement en Grande-Bretagne et en Suisse.

Leuciscus aspius Origine : introduction. Europe et Asie : grands fleuves qui se jettent dans la mer du Nord (Weser, Elbe), la mer Baltique (affluents méridionaux, Norvège à l’est d’Oslo, sud de la Suède, bassin versant de Kokemären dans le sud de la Finlande), la mer Noire, la mer d’Azov et la mer Caspienne ; Bassin de la mer Égée, de Maritza aux bassins versants du lac Volvi. Absent dans le bassin de la mer Noire au sud des bassins versants du Danube et de la Rioni (Géorgie), mais présent en Turquie à l’ouest d’Ankara. Introduit dans le Rhin, la Dvina septentrionale et le lac Balkhach (Asie). La sous-espèce Aspius aspius iblioides a déjà été reconnue par les auteurs pour la mer d’Aral.

Leuciscus idus Origine : indigène. Europe et Asie : bassins de la Baltique, de la Mer Noire, du nord de la Caspienne et de la mer du Nord, bassin atlantique vers le sud jusqu'aux bassins versants de la Seine et de la basse Loire (France). Absent en Scandinavie au nord du 69°N. En Asie, vers l'est jusqu'au bassin versant de la Léna et au bassin d'Aral. Introduit en Grande-Bretagne et dans le nord de l'Italie. Transporté dans plusieurs pays d'Europe et aux États-Unis pour ornement

Leuciscus leuciscus Origine : indigène. Europe et Asie : bassins de la mer du Nord, de la Baltique, de la Mer Blanche et de Barents ; Bassin caspien, dans les bassins hydrographiques de la Volga et de l'Oural ; Bassin de la mer Noire, des bassins hydrographiques du Danube au Dniepr ; Bassin Atlantique, dans le bassin versant de la Seine ; Bassin méditerranéen du Rhône aux bassins hydrographiques de l'Arche (France). Uniquement très localisé sur le fleuve principal du Danube en Roumanie, en Scandinavie au nord du 69°N et dans la majeure partie de la Finlande centrale. Les populations de Sibérie et d'Asie de l'Est généralement appelées Leuciscus leuciscus sont des espèces distinctes, Leuciscus baicalensis et Leuciscus dzungaricus. S'est répandu en Europe et a accédé à l'Irlande comme poisson-appât. Au moins un pays signale un impact écologique négatif après son introduction.

Lota lota Origine : indigène. Circumarctique en eau douce. Europe : bassin versant de la Loire, France vers l'est jusqu'aux bassins des mers Blanche, Barents et Arctique ; drainage de la haute Volga; bassin caspien occidental; rivières se déversant dans la mer Noire ; Drainage du Rhône (France) ; en Italie, originaire uniquement du bassin hydrographique du Pô ; vers l'est de l'Angleterre (maintenant disparu). En Sibérie vers l'est jusqu'à la rivière Léna. Il a été signalé que les populations de l'est de la Sibérie et de l'Amérique du Nord appartiennent à une espèce différente, Lota maculosa. Amérique du Nord : partout au Canada, en Alaska et dans le nord des États-Unis (au sud jusqu'en Pennsylvanie, au Kentucky, au Missouri, au Wyoming et à Washington).

Micropterus dolomieu Origine : introduction. Amérique du Nord : système Saint-Laurent-Grands Lacs, bassins de la baie d'Hudson (fleuve Rouge) et du fleuve Mississippi, du sud du Québec au Canada jusqu'au Dakota du Nord et au sud jusqu'au nord de l'Alabama et à l'est de l'Oklahoma aux États-Unis. Introduit dans de nombreux pays pour la pêche sportive. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Micropterus salmoides Origine : introduction. Amérique du Nord : bassins du Saint-Laurent, des Grands Lacs et du Mississippi, du sud du Québec au Minnesota et au sud jusqu'au Golfe ; Bassins hydrographiques de l'Atlantique et du Golfe, de la Caroline du Nord à la Floride et au nord du Mexique. L'espèce a été largement introduite comme poisson de gibier et est maintenant cosmopolite. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Misgurnus fossilis Origine : indigène. Europe et Asie : En Europe, au nord des Alpes, de la Meuse vers l'est jusqu'aux bassins versants de la Neva et au lac Ladoga ; bassin nord de la mer Noire, du Danube vers l'est jusqu'au Kouban, absent dans la partie sud ; Bassin caspien dans les bassins hydrographiques de la Volga et de l'Oural. Non originaire de Grande-Bretagne, de Scandinavie, des péninsules des Apennins et de la péninsule ibérique, de Crimée et des bassins de l'Adriatique, de la mer Égée et de la mer Blanche. Introduit localement dans le bassin du Rhône (France) et peut-être ailleurs.

Neogobius melanostomus Origine : introduction. Europe et Asie : bassins de la mer d'Azov, de la mer Noire et de la Caspienne. Des impacts écologiques néfastes après introduction ont été signalés par plusieurs pays. En 2004, cette espèce a été introduite accidentellement en Amérique du Nord avec les eaux de ballast des navires.

Oncorhynchus kisutch Origine : introduction. Pacifique Nord : distribué depuis la rivière Anadyr en Russie vers le sud en direction d'Hokkaido, au Japon, et de Point Hope en Alaska vers le sud jusqu'à la baie de Chamalu en Basse-Californie, au Mexique.

Oncorhynchus mykiss Origine : introduction. Versant du Pacifique, depuis le drainage de la rivière Kuskokwim en Alaska jusqu'au drainage de la rivière Otay en Californie, aux États-Unis. Largement introduit et établi au Canada et aux États-Unis, y compris dans les bassins de l'Arctique, de l'Atlantique, des Grands Lacs, du Mississippi et du Rio Grande, et ailleurs dans le monde. Pacifique oriental : péninsule du Kamtchatkan et ont été observés dans les îles du Commandeur à l'est du Kamtchatka et sporadiquement dans la mer d'Okhotsk jusqu'à l'embouchure du fleuve Amour, le long du continent. Les enregistrements en dehors du Kamtchatka représentent probablement la truite arc-en-ciel du Kamtchatka (penshinensis) migratrice ou errante plutôt que la population indigène établie. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Oreochromis niloticus Origine : introduction. Afrique: présent naturellement dans les rivières côtières d'Israël, le bassin du Nil (y compris les lacs Albert, Edward et Tana), le Jebel Marra, le lac Kivu, le lac Tanganyika, la rivière Awash, divers lacs éthiopiens, le système fluvial de l'Omo, le lac Turkana, Rivière Suguta et lac Baringo. En Afrique de l'Ouest, la répartition naturelle couvre les bassins du Sénégal, de la Gambie, de la Volta, du Niger, de la Bénoué et du Tchad, avec des spécimens introduits signalés dans divers bassins côtiers. Largement introduit pour l'aquaculture, avec de nombreuses souches existantes. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction. Les sous-espèces suivantes ont déjà été reconnues : Oreochromis niloticus baringoensis, Oreochromis niloticus cancellatus, Oreochromis niloticus eduardianus, Oreochromis niloticus filoa, Oreochromis niloticus niloticus, Oreochromis niloticus sugutae, Oreochromis niloticus tana et Oreochromis niloticus vulcani.

Bizart et étrange que se poisson sois reconnue dans les eaux sauvage de Belgique. En aquaculture oui, pas de problème, mais dans la nature ? Ou alors derrière les sorties de refroidissement d'usine ?

Osmerus eperlanus Origine : indigène. Atlantique Nord : Mer Blanche vers le sud jusqu'aux côtes occidentales de la France, y compris la mer Baltique, le sud de la mer du Nord et les îles britanniques ; l'estuaire de la Gironde constitue la limite sud de son aire de répartition. Populations enclavées dans les lacs des zones côtières des mers du Nord, Baltique, Blanche et de Barents. Au nord jusqu'à environ 68°N en Scandinavie. L'ancienne sous-espèce nominale Osmerus eperlanus eperlanus est observée depuis les côtes et le drainage des mers Blanche et de Barents vers l'ouest en passant par la mer Baltique jusqu'au Danemark et elle est principalement lacustre. L'ancienne sous-espèce Osmerus eperlanus schonfoldi (Rutty 1772) est sympatrique avec la sous-espèce nominale dans certaines parties de la Pologne, du Danemark et de la Baltique, et elle est principalement anadrome.

Perca fluviatilis Origine : introduction. Eurasie : dans toute l'Europe jusqu'à l'extrémité nord de la Scandinavie, à l'exception de la péninsule ibérique, de l'Italie centrale et du bassin Adriatique ; Bassin de la mer Égée dans Matriza et depuis les bassins versants de Struma à Aliakmon ; Bassin de la mer d'Aral ; Sibérie dans les rivières drainant l'océan Arctique vers l'est jusqu'à la Kolyma. Largement introduit. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Petromyzon marinus Origine : indigène. Atlantique Nord-Est : Norvège, y compris l'Islande et la mer de Barents, au sud jusqu'à l'Afrique du Nord. Dans toute la Méditerranée occidentale et centrale, mais absente de la Méditerranée orientale et de la mer Noire. Atlantique Ouest : du Labrador, du Canada au golfe du Mexique en Floride, aux États-Unis. Enclavé dans les Grands Lacs, les lacs Finger, le lac Oneida et le lac Champlain, Canada/États-Unis. du golfe du Saint-Laurent jusqu'à la rivière Saint-Jean en Floride, bassin du Saint-Laurent et des Grands Lacs ; 1 record pour l'enclave de Floride.

Phoxinus phoxinus Origine : indigène. Eurasie : bassins des mers de l'Atlantique, du Nord et de la Baltique, de l'Arctique et du nord de l'océan Pacifique, de la Garonne (France) vers l'est jusqu'aux bassins hydrographiques d'Anadyr et de l'Amour et à la Corée ; Irlande (éventuellement introduit), Grande-Bretagne vers le nord jusqu'à 58°N. Extrémité nord de la Scandinavie et de la Russie, bassin versant du Rhône. Enregistré dans les bassins hydrographiques de la haute et moyenne Volga et de l'Oural, du lac Balkhash (Kazakhstan) et du bassin supérieur du Syr-Darya (bassin de l'Aral), mais dans le reste, les identifications doivent être vérifiées. Au moins un pays signale un impact écologique négatif après son introduction. Plusieurs espèces sont confondues sous Phoxinus phoxinus.

Pimephales promelas Origine : introduction. Amérique du Nord et Amérique centrale : sur une grande partie de l'Amérique du Nord, du Québec aux Territoires du Nord-Ouest et à la Colombie-Britannique au Canada et au sud jusqu'en Alabama, au Texas aux États-Unis et au Mexique. Largement introduit, notamment dans le bassin versant du fleuve Colorado en Arizona et au Nouveau-Mexique, aux États-Unis. Non présent sur les versants de l’Atlantique et du Golfe, entre la rivière Potomac en Virginie et la rivière Trinity au Texas. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Platichthys flesus Origine : indigène. Atlantique Est : eaux côtières et saumâtres de l’Europe occidentale et de la mer Blanche à la Méditerranée et à la mer Noire. Introduit accidentellement aux États-Unis et au Canada lors du transport dans les eaux de ballast. Asie : Iran.

Pseudorasbora parva Origine : introduction. Asie : bassins versants de l'Amour à Zhujiang [rivière des Perles] en Sibérie, en Corée et en Chine. Introduit dans diverses régions d’Europe et d’Asie. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Pungitius laevis Origine : indigène. Europe : zones côtières de l'Europe occidentale depuis les Pays-Bas jusqu'au bassin de la Garonne (France), l'Irlande et le sud de la Grande-Bretagne.

Pungitius pungitius Origine : indigène. Circuarctique : bassins hydrographiques de l'Arctique et de l'Atlantique à travers le Canada et l'Alaska, et jusqu'au New Jersey, aux États-Unis ; Côte Pacifique de l'Alaska ; Bassin des Grands Lacs ; également en Eurasie. Eurasie : zones côtières du nord de l'Europe, des Pays-Bas au nord de la Russie, en passant par le sud de la Norvège et le bassin baltique. Largement distribué à l'intérieur des terres de l'est de la Scandinavie. S'étend vers l'est jusqu'en Sibérie et au Japon, mais reste à confirmer que les populations d'Asie de l'Est sont conspécifiques aux populations européennes.

Rhodeus amarus Origine : indigène. Europe : Europe centrale et orientale et Asie Mineure du Nord. Bassins des mers Baltique du Nord, du Sud, Noire, Caspienne occidentale et méridionale et de la Mer Égée (des bassins versants de Maritza à Struma) ; Bassin méditerranéen, uniquement dans le nord des bassins versants du Rhône (France) et du Drin (Albanie, Monténégro, Macédoine). Abondant et en expansion dans la majeure partie de son aire de répartition, mais menacé localement par la pollution de l'eau, le désherbage et l'empoissonnement de poissons prédateurs.

Rutilus rutilus Origine : indigène. Europe : au nord jusqu'aux Pyrénées et aux Alpes, à l'est jusqu'aux bassins versants de l'Oural et de l'Eya (bassin caspien) ; Bassin égéen dans les bassins versants de Pinios, Vardar, Vegoritis, Kastoria, Struma et Maritza. Asie : bassin de Marmara et bas Sakarya en Anatolie, bassin d'Aral et Sibérie, de l'Ob vers l'est jusqu'aux bassins versants de la Léna. Naturellement absent de la péninsule ibérique, du bassin Adriatique, de l'Italie, de la Grande-Bretagne au nord de 56° N, de Scandinavie au nord de 69° N. Introduit localement en Espagne ; introduit et envahissant dans le nord-est de l’Italie. Au moins un pays signale un impact écologique négatif après son introduction.

Salmo salar Origine : introduction. Océan Atlantique Nord : zones tempérées et arctiques de l'hémisphère nord. Atlantique Ouest : bassins hydrographiques de l'Atlantique depuis le nord du Québec, au Canada, jusqu'au Connecticut et à New York, aux États-Unis ; à l'intérieur des terres, jusqu'au lac Ontario, où il a maintenant disparu. Des stocks enclavés sont présents en Amérique du Nord. Atlantique Est : bassins de la mer Blanche et de la mer de Barents à travers le nord-est de l'Europe jusqu'aux bassins de la Baltique et de la mer du Nord, y compris l'Islande. Introduit en Nouvelle-Zélande, au Chili, dans le sud de l'Argentine et en Australie.

Salmo trutta Origine : introduction. Europe et Asie : bassins de la mer Atlantique, du Nord, Blanche et Baltique, de l'Espagne à la Baie de Chosha (Russie). Trouvé en Islande et dans les rivières les plus septentrionales de Grande-Bretagne et de Scandinavie. Dans le bassin du Rhône, originaire uniquement du bassin du Léman, dans lequel il est entré après la dernière glaciation. Originaire des bassins hydrographiques du haut Danube et de la Volga. Largement introduit. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Salvelinus alpinus Origine : introduction. Europe et Amérique du Nord : circumpolaire. Islande, Scandinavie, nord de la Russie (absent dans les rivières se déversant dans la mer Baltique et la mer Blanche), Jan Mayen, Spitzberg, Kolguev, les îles Bear et New Zemblia, nord de la Sibérie, Alaska, Canada et Groenland ; absent dans les Alpes. Amérique du Nord : zones côtières des bassins hydrographiques de l'Atlantique, de l'Arctique et du Pacifique, de Terre-Neuve-et-Labrador au Canada jusqu'à l'Alaska ; vers le sud le long du talus atlantique jusqu'au Maine, aux États-Unis. Populations enclavées au Québec, au Canada et dans le Maine et le New Hampshire aux États-Unis.

Salvelinus fontinalis Origine : introduction. Amérique du Nord : originaire de la majeure partie de l'est du Canada, de Terre-Neuve-et-Labrador jusqu'à la côte ouest de la baie d'Hudson ; au sud dans les bassins de l'Atlantique, des Grands Lacs et du Mississippi jusqu'au Minnesota et au nord de la Géorgie (Applaches), aux États-Unis ; cours supérieur de la rivière Chattahoochee (bassin du Golfe). Largement introduit en Amérique du Nord et dans les régions tempérées d’autres continents. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Sander lucioperca Origine : introduction. Europe et Asie : bassins de la mer Caspienne, Baltique, Noire et Aral ; Bassins versants de l'Elbe (bassin de la mer du Nord) et de la Maritza (bassin de la mer Égée). Au nord jusqu'à environ 65° N en Finlande. Largement introduit. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Scardinius erythrophthalmus Origine : introduction. Eurasie : la plupart des fleuves européens au nord des Pyrénées et des Alpes, vers l'est jusqu'aux bassins hydrographiques de l'Oural et de l'Eya, les bassins de la mer d'Aral et de la mer Blanche ; Bassin de la mer Noire en Europe et nord de l’Asie Mineure. Naturellement absent de la péninsule ibérique, du bassin Adriatique, de l'Italie, de la Grèce au sud du bassin versant de Pinios, de la Grande-Bretagne au nord du 54° N, de l'Irlande et de la Scandinavie au nord du 62° N. Certainement absent en Sibérie. Les signalements de cette zone sont nés de la confusion entre le rotengle et le gardon. Introduit dans plusieurs pays. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Squalius cephalus Origine : indigène. Eurasie : bassins du Nord, de la Baltique, du nord des mers Noire, Blanche, de Barents et de la Caspienne, bassins de l'Atlatinc vers le sud jusqu'aux bassins hydrographiques de l'Adour (France), Grande-Bretagne au nord jusqu'à 56°C, Scandinavie : sud de la Finlande, Suède au nord jusqu'à la limite de Stockholm. Bassin méditerranéen du Var à l'Hérault (éventuellement Aude) (France). Introduit ailleurs, Naturellement absent d'Italie et du bassin Adriatique.

Tinca tinca Origine : introduction. Asie, originaire de l'est jusqu'à l'ouest du bassin hydrographique de l'Ienisseï, au sud de 60°N. Introduit ailleurs. Eurasie : supposée être originaire de la majeure partie de l'Europe, naturellement absente uniquement en Irlande, en Scandinavie au nord de 61°30'N, dans l'est du bassin Adriatique et dans l'ouest et le sud de la Grèce où elle est maintenant introduite. En

Umbra pygmaea Origine : introduction. Amérique du Nord : versants de l'Atlantique et du Golfe, depuis le sud-est de l'État de New York (y compris Long Island) jusqu'au bassin versant de la rivière St.Johns en Floride et à l'ouest jusqu'au bassin versant de la rivière Aucilla en Floride et en Géorgie, aux États-Unis. Introduit (mais très localisé) en Europe centrale et occidentale.

La suite ...



Dernière édition par № 65 le Dim 28 Jan 2024 - 10:15, édité 1 fois

12pêche et survie Empty Re: pêche et survie Dim 28 Jan 2024 - 10:09

№ 65

№ 65

Pour la France, la liste est plus longue !! lol

Abramis brama Origine : indigène. Europe et Asie : la plupart des bassins versants européens de l’Adour (France) à la Petchora (bassin de la mer Blanche) ; Bassin de la mer Égée, dans les bassins versants du lac Volvi et de la Struma et de Maritza. Naturellement absent de la péninsule ibérique, du bassin adriatique, de l’Italie, de l’Écosse, de la Scandinavie au nord de Bergen (Norvège) et du 67°N (Finlande). Introduit localement en Irlande, en Espagne et dans le nord-est de l’Italie. En Asie, du bassin de Marmara (Turquie) et vers l’est jusqu’au bassin d’Aral. Introduit dans le lac Baïkal et les bassins versants du cours supérieur de l’Ob et de l’Ienisseï.

Acipenser baerii Origine : introduction. Asie : Sibérie, fleuves Ob, Irtych, Ienisseï, Léna, Kolyma, Khatanga, Pyasina, Anabar, Olenyok, Yana et lac Baïkal. Des populations non migratrices existent dans tous les systèmes fluviaux.

Acipenser sturio Origine : indigène. Atlantique Est : la seule population reproductrice restante se trouve dans le bassin versant de la Garonne en France. Utilisé pour aller de la Norvège au golfe de Gascogne, y compris la mer du Nord, les côtes européennes de l’Atlantique, le nord de la Méditerranée vers l’est jusqu’à Rhodes, l’ouest et le sud de la mer Noire ; occasionnellement observé en mer Blanche, en Islande, au Maroc et en Algérie. Anadrome, dans la plupart des grands fleuves, mais non signalé du Danube en amont du delta. Des études récentes sur l’ADN à partir de spécimens de musée ont révélé que cette espèce coexiste avec A. naccarii de la mer Adriatique à la péninsule ibérique. Plusieurs différences de séquences d’ADN ont été trouvées entre les individus de l’espèce de la population de la Gironde et de la mer du Nord et de la mer Baltique, ce qui montre que les différentes populations d’A. Sturio sont génétiquement divergentes.

Alburnoides bipunctatus Origine : indigène. Europe et Asie : le bassin versant de la Loire en France vers l’est, dans presque tous les fleuves qui se jettent dans le sud de la mer Baltique, de la mer du Nord, de la mer Noire et de la mer d’Azov ; le bassin de la Caspienne, dans la haute Volga et du bassin versant de la Koura vers le sud jusqu’aux affluents iraniens de la Caspienne ; largement répandue en Iran. Dans le bassin méditerranéen, uniquement dans le Rhône et quelques petits bassins versants côtiers de la Provence (France) vers l’est jusqu’à Gênes (Italie), Aoos (Grèce, Albanie) et l’ouest de la Grèce jusqu’au sud du bassin versant de Sperchios. Dans le bassin de Marmara, dans l’ouest de l’Anatolie, au sud du bassin versant de la Grande Menderes et dans les bassins versants de l’Euphrate supérieur et du Tigre. Bassins versants de l’Aral, du haut Amou-Darja et du Karakumskij (Tukménistan, Afghanistan).

Alburnus alburnus Origine : indigène. Europe et Asie : la majeure partie de l’Europe au nord du Caucase, des Pyrénées et des Alpes, à l’est jusqu’à l’Oural et l’Emba. Naturellement absent de la péninsule ibérique, des bassins de l’Adriatique et de la mer Égée (à l’exception du bassin de Maritza), de l’Italie, de l’Irlande, de la Grande-Bretagne (sauf au sud-est), de la Norvège et de la Scandinavie au nord du 67°N, du bassin de la Caspienne au sud de la Volga. En Anatolie, bassin de Marmara. Introduit localement en Espagne, au Portugal et en Italie. Au moins un pays fait état d’un impact écologique négatif après l’introduction.

Alosa alosa Origine : indigène. Atlantique oriental : du sud de la Norvège et le long des côtes de l’Europe jusqu’au nord de la Mauritanie, y compris la mer Baltique occidentale jusqu’à l’oblast de Kaliningrad, la partie occidentale de la mer Méditerranée et les côtes de l’Afrique du Nord. Cependant, actuellement il n’est actuellement que très localement distribué hors de France, victime de la pollution et de la retenue des grands fleuves dans toute l’Europe.

Alosa fallax Origine : indigène. Atlantique Nord-Est : côtes atlantiques du sud et de l’ouest de l’Islande au nord du Maroc, y compris la mer du Nord, la mer Baltique ; également la mer Méditerranée et la Mer Noire. Plusieurs sous-espèces ont été reconnues en fonction du nombre de branchicténies et de leur emplacement géographique ; certains ont depuis reçu le statut d’espèce.

Ambloplites rupestris Origine : introduction. Amérique du Nord : Bassins du fleuve Saint-Laurent, des Grands Lacs, de la baie d’Hudson (rivière Rouge) et du Mississippi du Québec à la Saskatchewan au Canada, et au sud jusqu’au nord de la Géorgie, au nord de l’Alabama et au Missouri (indigène uniquement à la rivière Meramec) aux États-Unis. Introduit en Europe.

Ameiurus melas Origine : introduction. Amérique du Nord : des Grands Lacs au nord du Mexique. La confusion sur le statut taxonomique de cette espèce avec Ameiurus nebulosus a entraîné plus de doutes quant à savoir lequel des deux est présent dans certains pays. En Europe, il forme des populations denses et rabougries, ce qui le rend impopulaire. Plusieurs pays font état d’un impact négatif sur l’environnement après l’introduction. En Europe, des populations autosuffisantes ont été enregistrées dans les bassins versants de l’Èbre et du Tage (péninsule ibérique), dans la plupart des bassins versants de France, localement en Italie, aux Pays-Bas et en Allemagne ; distribution pourrait être plus large.

Anguilla anguilla Origine : indigène. Océan Atlantique : côte atlantique de la Scandinavie au Maroc ; mer Baltique, mer Noire et mer Méditerranée ; fleuves de l’Atlantique Nord, de la mer Baltique et de la mer Méditerranée. Introductions continues à l’Asie et à l’Amérique du Sud et centrale. Zone de frai dans l’ouest de l’Atlantique (mer des Sargasses). Au moins un pays fait état d’un impact écologique négatif après l’introduction. Des études récentes sur l’ADN génomique montrent que l’anguille européenne présente un isolement à distance, ce qui implique qu’il existe un accouplement non aléatoire et un flux génétique restreint entre les anguilles provenant de différents endroits. L’existence de 3 sous-populations génétiquement distinctes est suggérée : une sous-population d’Europe du Nord (constituée principalement des stocks islandais) ; une sous-population d’Europe occidentale (y compris la mer Baltique, la Méditerranée et la mer Noire) ; une sous-population méridionale (y compris les stocks du Maroc).

Aphanius fasciatus Origine : indigène. Europe : France, Italie, Slovénie, Croatie, Albanie, Grèce et Monténégro. Bassin méditerranéen : Afrique du Nord de l’Égypte à l’est de l’Algérie, parfois dans des bassins enclavés ; à travers le canal de Suez dans les lacs Amers, Égypte. Asie : Turquie.

Atherina boyeri Origine : indigène. Atlantique Est : du Portugal et de l’Espagne jusqu’à Nouadhibou en Mauritanie et à Madère, et dans toute la Méditerranée et la mer Noire. Populations isolées sur les côtes de l’Angleterre et des Pays-Bas. Auparavant, deux sous-espèces étaient reconnues dans les eaux russes : Atherina boyeri pontica (Eichwald, 1838) de la mer Noire et de la mer d’Azov et Atherina boyeri caspia (Eichwald, 1838) de la mer Caspienne.

Barbatula barbatula Origine : indigène. Eurasie : Europe au nord du Caucase, des Pyrénées et des Alpes, des bassins versants de la Loire et du Rhône vers l’est ; les îles britanniques (à l’exception du nord de l’Écosse), le sud de la Suède et de la Finlande (vers le nord jusqu’à environ 66°N) ; nord-est de l’Italie ; les bassins versants du Danube et du Vardar ; De l’Asie à la Chine.

Barbatula quignardi Origine : indigène. Europe : France des bassins versants du Lez au Tech (bassin méditerranéen) et des drainages de l’Adour et de la Garonne (bassin atlantique) ; Espagne dans le bassin versant de l’Èbre et entre les bassins versants de Bidasao et de Nervión sur le versant oriental de la Cantabrique (introduit dans le bassin versant du Douro).

Barbus barbus Origine : indigène. Europe : au nord des Pyrénées et des Alpes, de l’Adour (France) vers l’est jusqu’aux bassins versants du Niémen (Lituanie, Russie), dans les fleuves qui se jettent dans l’Atlantique, la mer du Nord et le sud de la mer Baltique ; les bassins versants du Danube au Dniepr dans le nord du bassin de la mer Noire ; sud-est de l’Angleterre au nord du Yorkshire. On le trouve presque partout dans les bassins versants méditerranéens de la France. Introduit localement dans le nord et le centre de l’Italie, les rivières Wear, Tees et Medway et la plupart des bassins versants de l’ouest de l’Angleterre.

Barbus meridionalis Origine : indigène. Europe : les cours d’eau qui se jettent dans la Méditerranée depuis les bassins versants de Besos (près de Barcelone, nord-est de l’Espagne) jusqu’au Var (à Nice, dans le sud-est de la France), y compris le Rhône jusqu’en amont de Lyon ; quelques sources du bassin de la Garonne en Ariège, dans le Tarn et l’Aveyron (France), apparemment indigènes dans la plupart des localités, mais introduites dans au moins certaines localités du haut Tarn. Barbus meridionalis graellsii trouvé dans le sud de la France et le centre et le nord de l’Espagne (maintenant reconnu comme espèce. Les populations italiennes sont maintenant reconnues sous le nom de Barbus caninus.

Blicca bjoerkna Origine : indigène. Europe et Asie : bassins du Nord, de la Baltique, de la mer Blanche, de la mer Noire (au sud jusqu’au bassin versant de Rioni) et de la mer Caspienne, bassin atlantique vers le sud jusqu’au bassin versant de l’Adour (France ; éventuellement introduit au sud de la Loire) et bassin méditerranéen en France (bassins versants de l’Hérault et du Rhône). Dans les bassins de l’Aral, de Marmara et de la mer Noire anatolienne, à l’ouest d’Ankara. Naturellement absent de la péninsule ibérique, de l’Italie, du bassin adriatique, de la Crimée, de la Grande-Bretagne (sauf le sud-est), de la Scandinavie au nord de Sundsvall (Suède) et du 65° N (Finlande). Introduit localement en Espagne et dans le nord-est de l’Italie ; en France, apparemment introduite dans les petits bassins versants côtiers du Var.

Carassius auratus Origine : introduction. Asie : originaire d’Asie de l’Est, de Chine et du Japon. Introduit ailleurs. dans le monde entier, avec des impacts écologiques négatifs signalés après l’introduction.

Carassius carassius Origine : introduction. Eurasie : bassins du Nord, de la mer Baltique, de la mer Blanche, de la mer de Barents, de la mer Noire et de la mer Caspienne ; Bassin de la mer Égée uniquement dans le bassin versant de Maritza ; vers l’est jusqu’au bassin versant de la Kolyma (Sibérie) ; vers l’ouest jusqu’au Rhin et les bassins versants de l’est de l’Angleterre. Absent du bassin de la mer du Nord en Suède et en Norvège. Dans le bassin de la Baltique au nord jusqu’à environ 66°N. Largement introduit en Italie, en Angleterre et en France, mais peut-être souvent confondu avec Carassius gibelio. Au moins un pays fait état d’un impact écologique négatif après l’introduction.

Carassius gibelio Origine : introduction. Europe et Asie : généralement considéré comme originaire d’Europe centrale en Sibérie ou introduit dans les eaux européennes depuis l’Asie de l’Est. Il n’existe pas de données claires et définitives sur la distribution originale en Europe en raison de l’introduction, de la confusion avec Carassius auratus et de la complexité des modes de reproduction. À l’heure actuelle, il est largement répandu et couramment stocké avec Cyprinus carpio qui est transporté dans toute l’Europe. Absent dans le nord du bassin de la Baltique, en Islande, en Irlande, en Écosse et dans les îles méditerranéennes.

Chelon ramada Origine : indigène. Atlantique oriental : des côtes du sud de la Norvège au Cap-Vert, en passant par la Méditerranée et la mer Noire. Les mentions de sa présence dans les eaux tropicales sont basées sur des erreurs d’identification.

Chelon saliens Origine : indigène. Atlantique Est : Mer Méditerranée, mer Noire, mer d’Azov et côtes atlantiques du Maroc à la France. Introduit en Iran et est maintenant présent à l’état naturel dans le bassin de la mer Caspienne.

Chondrostoma nasus Origine : indigène. Europe : Bassins de la mer Noire (bassins versants du Danube, du Dniestr, du Boug du Sud et du Dniepr), du sud de la Baltique (Niéman, Odra, Vistule) et du sud de la mer du Nord (à l’ouest jusqu’à la Meuse). Envahissante ou introduite dans les bassins versants du Rhône, de la Loire, de l’Hérault, de la Seine (France) et de la Soca (Italie, Slovénie). Les rapports du bassin versant du Drin, y compris les lacs d’Ohrid et de Skadar, représentent une espèce distincte. Asie : Turquie.

Cobitis bilineata Origine : indigène. Europe : bassin nord de l’Adriatique, des bassins versants du Pô à la Soca (Slovénie, Italie, Suisse), système de la Durance (bassin du Rhône, France) et bassin versant de la Zrmanja (Croatie). Introduit dans la majeure partie de l’Italie (y compris la Sardaigne), le lac Bañolas (nord-est de l’Espagne) et le bassin versant du Rhin supérieur (Suisse).

Cobitis taenia Origine : indigène. Europe et Asie : bassins versants de l’Atlantique de la Loire vers le nord ; bassin de la Baltique au sud de 61°N ; bassins versants du cours supérieur de l’Olga et de l’Oural ; bassin nord de la mer Noire (à l’exception du Danube). Des mentions anciennes des bassins versants de l’Ardour et de la Garonne en France doivent être confirmées.

Coregonus albula Origine : introduction. Europe : bassin de la Baltique, lacs de la haute Volga (Seliger, Vseluga, Perejaslavskoe), certains lacs du bassin de la mer Blanche et du bassin de la mer du Nord à l’est du bassin de l’Elbe. Anadrome dans le golfe de Finlande et marin dans la partie la plus septentrionale du golfe de Botnie ; vers le nord jusqu’à environ 69° N dans le lac Inari, dans le nord de la Finlande ; Rhin inférieur (aujourd’hui disparu). Fréquemment ensemencé dans les lacs et les réservoirs en Allemagne et en Pologne.

Coregonus hiemalis Origine : indigène. Europe : Lac du Bourget (France) et Lac de Genèva (France, Suisse). Introduit dans le lac d’Aiguebelette (France). La population d’origine a disparu du lac Léman, mais comme les descendants des populations du lac du Bourget éclosent et sont élevés à Thonon, il faut s’attendre à des évasions.

Coregonus lavaretus Origine : introduction. Europe : Originaire du lac du Bourget (France) et de Genève (Suisse, France). Population du lac d’Aiguebelette (France) apparemment introduite, mais un 'lavaret' y avait déjà été signalé au 17ème siècle. D’autres auteurs supposent qu’il s’agit d’une super-espèce présente en Grande-Bretagne et dans les régions alpines d’Europe centrale. A été stocké dans de nombreux autres endroits en Europe en dehors de son aire de répartition naturelle. Il existe de nombreux noms scientifiques parallèles et erronés pour cette espèce en raison des problèmes de classification du genre Coregonus. Asie : introduite en Iran.

Cottus aturi Origine : indigène. Europe : Bassins versants de l’Adour et de la Nivelle en France et en Espagne.

Cottus duranii Origine : indigène. Europe : Bassins versants de la Haute-Dordogne et de la Haute Loire en France. Les populations du haut Lot sont peut-être conspécifiques.

Cottus gobio Origine : indigène. Europe : au nord de la Baltique en Scandinavie, au sud jusqu’au cours d’eau Maurine au sud-ouest, dans la partie la plus éloignée du bassin de la Baltique (Allemagne) ; cours inférieur des ruisseaux et des rivières et le long des côtes de la Suède, de la Finlande et de la Russie vers le sud-ouest jusqu’à l’Estonie. le Danube (à l’exception des affluents supérieurs de la Save et de l’Arges), les bassins versants de l’Elbe, de l’Ems, de la Weser et du Rhône ; les affluents du Rhin supérieur en aval (vers le nord) jusqu’aux environs de Mannheim ; quelques-uns des affluents supérieurs du Tibre, dans le centre de l’Italie ; Bassins versants de l’Adriatique de Potenza en Italie à Zrmanja en Croatie, à l’exception de la source de Timavo. Introduit localement dans le bassin versant de l’Escaut en Belgique. Les mentions de chabots du bassin versant de la Neretva en Bosnie-Herzégovine appartiennent peut-être à Cottus gobio.

Cottus hispaniolensis Origine : indigène. Europe : Bassin versant sud de la Garonne en Espagne et en France.

Cottus perifretum Origine : indigène. Europe : Grande-Bretagne ; Bassins versants de l’Atlantique de la Garonne (affluents du Massif central) à l’Escaut en France et en Belgique. Également dans les rivières Moselle et Sieg en Allemagne. Pourrait également être présent dans d’autres grands affluents du Rhin, le tronçon français du Rhin supérieur et la basse Meuse. Envahissante dans le drainage du Rhin en Allemagne et aux Pays-Bas, atteignant l’amont (Southwar) jusqu’à Karlsruhe. Cette population envahissante du Rhin est un intermédiaire entre Cottus perifretum Cottus rhenanus et forme un groupe génétique distinct sur l’ensemble de son aire d’expansion.

Cottus petiti Origine : endémique. Europe : sources du cours d’eau du Lez en France.

Cottus rondeleti Origine : indigène. Europe : Trois populations isolées dans le bassin versant de l’Hérault, France.

Cottus sabaudicus Origine : indigène. Europe : Rhône en France.

Ctenopharyngodon idella Origine : introduction. Asie : Chine orientale et Russie en Sibérie orientale, système fluvial de l’Amour. Largement transporté dans le monde entier. Persiste uniquement en Europe par empoissonnement . Les introductions apportaient souvent avec elles le ténia parasite Bothriocephalus opsarichthydis (synonyme de B. acheilognathi). Plusieurs pays font état d’un impact négatif sur l’environnement après l’introduction.

Cyprinus carpio Origine : introduction. De l’Europe à l’Asie : bassins de la mer Noire, de la mer Caspienne et de la mer d’Aral. Introduit dans le monde entier. Les stocks sauvages ne sont présents à l’état naturel que dans les rivières qui se jettent dans la mer Noire, la mer Caspienne et la mer d’Aral. On suppose qu’une population sauvage réophile du Danube est à l’origine de l’espèce européenne ; cette population est aujourd’hui menacée.

Dicentrarchus labrax Origine : indigène. Atlantique Est : de la Norvège au Maroc, aux îles Canaries et au Sénégal. Également connu de la Méditerranée et de la mer Noire. Absent de la mer Blanche, de la mer de Barents, de la mer Baltique et de la mer Caspienne.

Esox aquitanicus Origine : endémique. Europe : France. Présent dans les bassins de la Charente, de la Dordogne, de l’Eyre et de l’Adour. Le lac Mouriscot constitue sa situation la plus méridionale actuellement connue. Compte tenu de l’histoire biogéographique des bassins versants français de l’Atlantique, il devrait également être présent dans le bassin de la Garonne, mais la population pourrait avoir régressé à la suite de l’introduction du grand brochet E. Lucius. Il y a encore plus de probabilités de rencontrer le brochet aquitanien dans les petits affluents, où les humains ne stockent pas le grand brochet, que dans les grands cours d’eau. Il pourrait être présent dans le bassin de la Sèvre niortaise, mais aucun spécimen n’a été capturé, et dans le bassin versant de la Loire, mais nous n’avons capturé que des individus d’E. lucius. Il est possible que le brochet d’Aquitaine soit ensemencé et vendu sous le nom d’E. lucius par des pisciculteurs du sud-ouest de la France, afin de repeupler les plans d’eau en France ou à l’étranger pour la pêche sportive. Des études supplémentaires sont nécessaires pour caractériser les limites de l’aire de répartition.

Esox lucius Origine : introduction. Circumpolaire en eau douce. Amérique du Nord : bassins de l’Atlantique, de l’Arctique, du Pacifique, des Grands Lacs et du Mississippi, du Labrador à l’Alaska et au sud jusqu’en Pennsylvanie et au Nebraska, aux États-Unis. Eurasie : Caspienne, Noire, Baltique, Blanche, Barents, Arctique, mer du Nord et d’Aral et bassins de l’Atlantique, au sud-ouest jusqu’au bassin versant de l’Adour ; Bassin méditerranéen dans le bassin versant du Rhône et dans le nord de l’Italie. Largement répandu en Asie centrale et en Sibérie jusqu’au bassin versant de l’Anadyr (bassin de la mer de Béring). Historiquement absent de la péninsule ibérique, de la France méditerranéenne, du centre de l’Italie, du sud et de l’ouest de la Grèce, de l’est du bassin adriatique, de l’Islande, de l’ouest de la Norvège et du nord de l’Écosse. Largement introduit et transloqué dans toute l’Europe. Plusieurs pays font état d’un impact négatif sur l’environnement après l’introduction.

Gambusia affinis Origine : introduction. Amérique du Nord et Amérique centrale : bassin du fleuve Mississippi depuis le centre de l’Indiana et de l’Illinois aux États-Unis jusqu’au golfe du Mexique et bassins versants du golfe du Mexique vers l’ouest jusqu’au Mexique. C’est l’une des espèces avec la plus large gamme d’introductions qui a acquis pour elle-même une distribution quasi panmondiale. Plusieurs pays font état d’un impact négatif sur l’environnement après l’introduction.

Gambusia holbrooki Origine : introduction. Introduit dans le monde entier dans les pays tropicaux et subtropicaux. Amérique du Nord : Bassins versants de l’Atlantique et du Golfe du New Jersey jusqu’à l’Alabama aux États-Unis. Implanté dans toute l’Europe du Sud. Introduit pour la lutte contre les moustiques, mais a eu des effets rares ou inexistants sur les moustiques, et un impact négatif à peut-être neutre sur les poissons indigènes.

Gasterosteus aculeatus Origine : indigène. Régions circumarctiques et tempérées : S’étendant vers le sud jusqu’à la mer Noire, le sud de l’Italie, la péninsule ibérique, l’Afrique du Nord ; en Asie de l’Est au nord du Japon (35°N), en Amérique du Nord au nord de 30-32°N ; Groenland.

Gobio alverniae Origine : indigène. Europe : France dans les bassins versants de la Haute Loire, de la Dordogne, du Lot et du Tran.

Gobio gobio Origine : indigène. Europe : bassins de l’océan Atlantique, de la mer du Nord et de la mer Baltique, du bassin versant de la Loire vers l’est, de l’est de la Grande-Bretagne, des bassins versants du Rhône et de la Volga, du Danube supérieur et des bassins versants du Dniestr moyen et supérieur et du Dniepr ; en Finlande, au nord jusqu’à environ 61°N. Introduit dans l’est et le nord de l’Italie, en Irlande, au Pays de Galles et en Écosse. Les limites orientale et méridionale ne sont pas claires. Se rencontre aussi loin à l’est que la Corée. Les populations de la péninsule ibérique et du bassin de l’Adour, dans le sud de la France, sont rattachées à G. lozanoi. Les populations du bassin de la Caspienne peuvent représenter une espèce distincte.

Gobio lozanoi Origine : indigène. Europe : Péninsule ibérique et France dans le bassin versant de l’Adour. Espagne : Bassin versant de l’Èbre et de la Bidassoa.


Gobio occitaniae Origine : indigène. Europe : France dans le bassin versant de la Garonne et les cours d’eau s’écoulant vers la Méditerranée entre Rhône et Pyrénées.

Gymnocephalus cernua Origine : indigène. Europe : bassins de la mer Caspienne, de la mer Noire, de la mer Baltique et de la mer du Nord ; Grande-Bretagne; nord jusqu’à environ 69°N en Scandinavie. Asie : bassin de la mer d’Aral, bassin de l’océan Arctique vers l’est jusqu’au bassin versant de la Kolyma. Plusieurs pays font état d’un impact négatif sur l’environnement après l’introduction.

Hypophthalmichthys molitrix Origine : introduction. Asie : Originaire de la plupart des principaux dainages du Pacifique de l’Asie de l’Est, de l’Amour à Xi Jiang, en Chine et à Hanoï, au Vietman. Introduit dans le monde entier pour l’aquaculture et le contrôle des proliférations d’algues. Plusieurs pays font état d’un impact négatif sur l’environnement après l’introduction. Souvent confondu avec Hypophthalmichthys nobilis.

Lampetra fluviatilis Origine : indigène. Europe : du sud de la Norvège à la France, en passant par l’Irlande et les îles britanniques. Également dans la mer Baltique et le long des côtes françaises et italiennes occidentales de la mer Méditerranée. Absent de la mer Noire, de la mer Caspienne et de la mer Polaire. Populations enclavées du lac Mjosa en Norvège, des lacs Ladoga et Onega, de la haute Volga en Russie, du Loch Lomond en Écosse, de certains lacs finlandais et peut-être du Lough Neagh en Irlande.

Lampetra planeri Origine : indigène. Europe : Grande-Bretagne au nord jusqu’aux hautes terres écossaises, rivières qui s’écoulent vers la mer du Nord au nord de l’Écosse et autour de Stavanger (Norvège), bassin de la mer Baltique, Atlantique jusqu’au sud du bassin versant de l’Adour (France, Espagne) et populations isolées dans les bassins versants du Sado, du Tage et du Douro (Portugal), bassin méditerranéen en France et dans l’ouest de l’Italie (vers le sud jusqu’au bassin versant du Cilento). Localement en Irlande, la haute Volga, le haut Danube et certains de leurs affluents et le drainage de la Pescara sur la côte adriatique de l’Italie.

Lepomis gibbosus Origine : introduction. Amérique du Nord : Nouveau-Brunswick au Canada jusqu’à Savannah River en Géorgie, États-Unis ; Bassins des Grands Lacs, de la baie d’Hudson (rivière Rouge) et du cours supérieur du Mississippi, du Québec à l’ouest jusqu’au sud-est du Manitoba et au Dakota du Nord, et au sud jusqu’au nord du Kentucky et du Missouri, aux États-Unis. Introduit dans les bassins hydrographiques du Pacifique, de la Colombie-Britannique à la Californie. Plusieurs pays font état d’un impact négatif sur l’environnement après l’introduction.

Leucaspius delineatus Origine : introduction. Europe et Asie : du Bas-Rhin et du nord de l’Allemagne vers l’est jusqu’au sud du bassin de la Baltique ; Bassin du Sud-Est noir au sud jusqu’au bassin versant de Rioni, bassin nord et ouest de la Caspienne (sud jusqu’au bassin versant de Kura) ; Bassin de la mer Égée (de Maritsa à Nestos). Absent en Italie, dans le bassin adriatique, en Grande-Bretagne et en Scandinavie (à l’exception de la Suède la plus méridionale). Largement introduit en France, dans le bassin versant du Rhin supérieur et localement en Grande-Bretagne et en Suisse.

Leuciscus aspius Origine : introduction. Europe et Asie : grands fleuves qui se jettent dans la mer du Nord (Weser, Elbe), la mer Baltique (affluents méridionaux, Norvège à l’est d’Oslo, sud de la Suède, bassin versant de Kokemären dans le sud de la Finlande), la mer Noire, la mer d’Azov et la mer Caspienne ; Bassin de la mer Égée, de Maritza aux bassins versants du lac Volvi. Absent dans le bassin de la mer Noire au sud des bassins versants du Danube et de la Rioni (Géorgie), mais présent en Turquie à l’ouest d’Ankara. Introduit dans le Rhin, la Dvina septentrionale et le lac Balkhach (Asie). La sous-espèce Aspius aspius iblioides a déjà été reconnue par les auteurs pour la mer d’Aral.

Leuciscus bearnensis Origine : indigène. Europe : Bassin versant de l’Adour en France.


Leuciscus burdigalensis Origine : endémique. Europe : France des bassins versants de la Loire à la Garonne sur le versant atlantique et des bassins versants du Tech à l’Aude sur le versant méditerranéen. La population de Leuciscus de l’Hérault est peut-être conspécifique.

Leuciscus leuciscus Origine : indigène. Europe et Asie : bassins de la mer du Nord, de la Baltique, de la Mer Blanche et de Barents ; Bassin caspien, dans les bassins hydrographiques de la Volga et de l'Oural ; Bassin de la mer Noire, des bassins hydrographiques du Danube au Dniepr ; Bassin Atlantique, dans le bassin versant de la Seine ; Bassin méditerranéen du Rhône aux bassins hydrographiques de l'Arche (France). Uniquement très localisé sur le fleuve principal du Danube en Roumanie, en Scandinavie au nord du 69°N et dans la majeure partie de la Finlande centrale. Les populations de Sibérie et d'Asie de l'Est généralement appelées Leuciscus leuciscus sont des espèces distinctes, Leuciscus baicalensis et Leuciscus dzungaricus. S'est répandu en Europe et a accédé à l'Irlande comme poisson-appât. Au moins un pays signale un impact écologique négatif après son introduction.

Leuciscus oxyrrhis Origine : endémique. Europe : cours supérieur du Lot, de l’Aveyron, du Tarn et de la Dordogne (bassin versant de la Garonne) en France.

Lota lota Origine : indigène. Circumarctique en eau douce. Europe : bassin versant de la Loire, France vers l'est jusqu'aux bassins des mers Blanche, Barents et Arctique ; drainage de la haute Volga; bassin caspien occidental; rivières se déversant dans la mer Noire ; Drainage du Rhône (France) ; en Italie, originaire uniquement du bassin hydrographique du Pô ; vers l'est de l'Angleterre (maintenant disparu). En Sibérie vers l'est jusqu'à la rivière Léna. Il a été signalé que les populations de l'est de la Sibérie et de l'Amérique du Nord appartiennent à une espèce différente, Lota maculosa. Amérique du Nord : partout au Canada, en Alaska et dans le nord des États-Unis (au sud jusqu'en Pennsylvanie, au Kentucky, au Missouri, au Wyoming et à Washington).

Micropterus salmoides Origine : introduction. Amérique du Nord : bassins du Saint-Laurent, des Grands Lacs et du Mississippi, du sud du Québec au Minnesota et au sud jusqu'au Golfe ; Bassins hydrographiques de l'Atlantique et du Golfe, de la Caroline du Nord à la Floride et au nord du Mexique. L'espèce a été largement introduite comme poisson de gibier et est maintenant cosmopolite. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Misgurnus fossilis Origine : indigène. Europe et Asie : En Europe, au nord des Alpes, de la Meuse vers l'est jusqu'aux bassins versants de la Neva et au lac Ladoga ; bassin nord de la mer Noire, du Danube vers l'est jusqu'au Kouban, absent dans la partie sud ; Bassin caspien dans les bassins hydrographiques de la Volga et de l'Oural. Non originaire de Grande-Bretagne, de Scandinavie, des péninsules des Apennins et de la péninsule ibérique, de Crimée et des bassins de l'Adriatique, de la mer Égée et de la mer Blanche. Introduit localement dans le bassin du Rhône (France) et peut-être ailleurs.

Mugil cephalus Origine : indigène. Cosmopolite dans les eaux côtières des zones tropicales, subtropicales et tempérées de toutes les mers. Pacifique Est : Californie, États-Unis jusqu’au Chili. Pacifique occidental : du Japon à l’Australie . Océan Indien occidental : de l’Inde à l’Afrique du Sud. Atlantique Ouest : Nouvelle-Écosse, Canada jusqu’au Brésil ; De Cape Cod au sud du golfe du Mexique ; absent aux Bahamas et dans la plupart des Antilles et des Caraïbes. Atlantique Est : du golfe de Gascogne à l’Afrique du Sud, y compris la mer Méditerranée et la mer Noire. Signalé dans la mer d’Okhotsk.

Oncorhynchus kisutch Origine : introduction. Pacifique Nord : distribué depuis la rivière Anadyr en Russie vers le sud en direction d'Hokkaido, au Japon, et de Point Hope en Alaska vers le sud jusqu'à la baie de Chamalu en Basse-Californie, au Mexique.

Oncorhynchus mykiss Origine : introduction. Versant du Pacifique, depuis le drainage de la rivière Kuskokwim en Alaska jusqu'au drainage de la rivière Otay en Californie, aux États-Unis. Largement introduit et établi au Canada et aux États-Unis, y compris dans les bassins de l'Arctique, de l'Atlantique, des Grands Lacs, du Mississippi et du Rio Grande, et ailleurs dans le monde. Pacifique oriental : péninsule du Kamtchatkan et ont été observés dans les îles du Commandeur à l'est du Kamtchatka et sporadiquement dans la mer d'Okhotsk jusqu'à l'embouchure du fleuve Amour, le long du continent. Les enregistrements en dehors du Kamtchatka représentent probablement la truite arc-en-ciel du Kamtchatka (penshinensis) migratrice ou errante plutôt que la population indigène établie. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Osmerus eperlanus Origine : indigène. Atlantique Nord : Mer Blanche vers le sud jusqu'aux côtes occidentales de la France, y compris la mer Baltique, le sud de la mer du Nord et les îles britanniques ; l'estuaire de la Gironde constitue la limite sud de son aire de répartition. Populations enclavées dans les lacs des zones côtières des mers du Nord, Baltique, Blanche et de Barents. Au nord jusqu'à environ 68 ° N en Scandinavie. L'ancienne sous-espèce nominale Osmerus eperlanus eperlanus est observée depuis les côtes et le drainage des mers Blanche et de Barents vers l'ouest en passant par la mer Baltique jusqu'au Danemark et elle est principalement lacustre. L'ancienne sous-espèce Osmerus eperlanus schonfoldi (Rutty 1772) est sympatrique avec la sous-espèce nominale dans certaines parties de la Pologne, du Danemark et de la Baltique, et elle est principalement anadrome.

Pachychilon pictum Origine : introduction. Europe : Bassin adriatique des bassins versants du Drin à l’Aoos. Introduit dans les bassins versants du Serchio (Italie), de la Garonne et du Var (France), et probablement ailleurs.

Parachondrostoma toxostoma Origine : introduction. Europe : Nord-Est de l’Espagne et de la France.

Perca fluviatilis Origine : introduction. Eurasie : dans toute l'Europe jusqu'à l'extrémité nord de la Scandinavie, à l'exception de la péninsule ibérique, de l'Italie centrale et du bassin Adriatique ; Bassin de la mer Égée dans Matriza et depuis les bassins versants de Struma à Aliakmon ; Bassin de la mer d'Aral ; Sibérie dans les rivières drainant l'océan Arctique vers l'est jusqu'à la Kolyma. Largement introduit. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Petromyzon marinus Origine : indigène. Atlantique Nord-Est : Norvège, y compris l'Islande et la mer de Barents, au sud jusqu'à l'Afrique du Nord. Dans toute la Méditerranée occidentale et centrale, mais absente de la Méditerranée orientale et de la mer Noire. Atlantique Ouest : du Labrador, du Canada au golfe du Mexique en Floride, aux États-Unis. Enclavé dans les Grands Lacs, les lacs Finger, le lac Oneida et le lac Champlain, Canada/États-Unis. du golfe du Saint-Laurent jusqu'à la rivière Saint-Jean en Floride, bassin du Saint-Laurent et des Grands Lacs ; 1 record pour l'enclave de Floride.

Phoxinus bigerri Origine : indigène. Europe : Bassin versant de l’Adour en France ; Bassin versant de l’Èbre et cours d’eau de la gamme cantabrique (peut-être introduits dans certains) en Espagne. Introduit dans le bassin versant du Douro.

Phoxinus phoxinus Origine : indigène. Eurasie : bassins des mers de l'Atlantique, du Nord et de la Baltique, de l'Arctique et du nord de l'océan Pacifique, de la Garonne (France) vers l'est jusqu'aux bassins hydrographiques d'Anadyr et de l'Amour et à la Corée ; Irlande (éventuellement introduit), Grande-Bretagne vers le nord jusqu'à 58°N. Extrémité nord de la Scandinavie et de la Russie, bassin versant du Rhône. Enregistré dans les bassins hydrographiques de la haute et moyenne Volga et de l'Oural, du lac Balkhash (Kazakhstan) et du bassin supérieur du Syr-Darya (bassin de l'Aral), mais dans le reste, les identifications doivent être vérifiées. Au moins un pays signale un impact écologique négatif après son introduction. Plusieurs espèces sont confondues sous Phoxinus phoxinus.

Phoxinus septimaniae Origine : introduction. Amérique du Nord et Amérique centrale : Sur une grande partie de l’Amérique du Nord, du Québec aux Territoires du Nord-Ouest et à la Colombie-Britannique au Canada et au sud jusqu’en Alabama, au Texas aux États-Unis et au Mexique. Largement introduit, y compris dans le bassin versant du fleuve Colorado en Arizona et au Nouveau-Mexique, aux États-Unis. Espèce non présente sur les pentes de l’Atlantique et du golfe entre le fleuve Potomac en Virginie et la rivière Trinity au Texas. Plusieurs pays font état d’un impact négatif sur l’environnement après l’introduction.

Platichthys flesus Origine : indigène. Atlantique Est : eaux côtières et saumâtres de l’Europe occidentale et de la mer Blanche à la Méditerranée et à la mer Noire. Introduit accidentellement aux États-Unis et au Canada lors du transport dans les eaux de ballast. Asie : Iran.

Pseudorasbora parva Origine : introduction. Asie : Bassins versants de l’Amour au Zhujiang [rivière des Perles] en Sibérie, en Corée et en Chine. Introduit dans diverses régions d’Europe et d’Asie. Plusieurs pays font état d’un impact négatif sur l’environnement après l’introduction.

Pungitius laevis Origine : indigène. Europe : zones côtières de l'Europe occidentale depuis les Pays-Bas jusqu'au bassin de la Garonne (France), l'Irlande et le sud de la Grande-Bretagne.

Pungitius pungitius Origine : indigène. Circuarctique : bassins hydrographiques de l'Arctique et de l'Atlantique à travers le Canada et l'Alaska, et jusqu'au New Jersey, aux États-Unis ; Côte Pacifique de l'Alaska ; Bassin des Grands Lacs ; également en Eurasie. Eurasie : zones côtières du nord de l'Europe, des Pays-Bas au nord de la Russie, en passant par le sud de la Norvège et le bassin baltique. Largement distribué à l'intérieur des terres de l'est de la Scandinavie. S'étend vers l'est jusqu'en Sibérie et au Japon, mais reste à confirmer que les populations d'Asie de l'Est sont conspécifiques aux populations européennes.

Pungitius vulgaris Origine : indigène. Europe : France.

Rhodeus amarus Origine : indigène. Europe : Europe centrale et orientale et Asie Mineure du Nord. Bassins des mers Baltique du Nord, du Sud, Noire, Caspienne occidentale et méridionale et de la Mer Égée (des bassins versants de Maritza à Struma) ; Bassin méditerranéen, uniquement dans le nord des bassins versants du Rhône (France) et du Drin (Albanie, Monténégro, Macédoine). Abondant et en expansion dans la majeure partie de son aire de répartition, mais menacé localement par la pollution de l'eau, le désherbage et l'empoissonnement de poissons prédateurs.

Rutilus rutilus Origine : indigène. Europe : au nord jusqu'aux Pyrénées et aux Alpes, à l'est jusqu'aux bassins versants de l'Oural et de l'Eya (bassin caspien) ; Bassin égéen dans les bassins versants de Pinios, Vardar, Vegoritis, Kastoria, Struma et Maritza. Asie : bassin de Marmara et bas Sakarya en Anatolie, bassin d'Aral et Sibérie, de l'Ob vers l'est jusqu'aux bassins versants de la Léna. Naturellement absent de la péninsule ibérique, du bassin Adriatique, de l'Italie, de la Grande-Bretagne au nord de 56° N, de Scandinavie au nord de 69° N. Introduit localement en Espagne ; introduit et envahissant dans le nord-est de l’Italie. Au moins un pays signale un impact écologique négatif après son introduction.

Salariopsis fluviatilis Origine : indigène. Europe et Afrique : Afrique : Fleuves et ruisseaux d’Algérie et du Maroc qui se jettent dans la Méditerranée ; y compris Israël. Europe : Albanie, Croatie, France, Grèce, Italie, Monténégro et Espagne ; Portugal. Asie : Turquie.

Salmo cettii Origine : indigène. Europe : Corse, Sardaigne, Sicile, bassin tyrréhénien de l’Italie depuis le bassin versant de Magra vers le sud.

Salmo rhodanensis Origine : indigène. Europe : bassin du Rhône, à l’exception du bassin lémanique (France, Suisse), vers l’est jusqu’aux bassins versants de la Roia (France, Italie), éventuellement plus à l’est dans le bassin de la mer Ligure.

Salmo salar Origine : introduction. Océan Atlantique Nord : zones tempérées et arctiques de l'hémisphère nord. Atlantique Ouest : bassins hydrographiques de l'Atlantique depuis le nord du Québec, au Canada, jusqu'au Connecticut et à New York, aux États-Unis ; à l'intérieur des terres, jusqu'au lac Ontario, où il a maintenant disparu. Des stocks enclavés sont présents en Amérique du Nord. Atlantique Est : bassins de la mer Blanche et de la mer de Barents à travers le nord-est de l'Europe jusqu'aux bassins de la Baltique et de la mer du Nord, y compris l'Islande. Introduit en Nouvelle-Zélande, au Chili, dans le sud de l'Argentine et en Australie.

Salmo trutta Origine : introduction. Europe et Asie : bassins de la mer Atlantique, du Nord, Blanche et Baltique, de l'Espagne à la Baie de Chosha (Russie). Trouvé en Islande et dans les rivières les plus septentrionales de Grande-Bretagne et de Scandinavie. Dans le bassin du Rhône, originaire uniquement du bassin du Léman, dans lequel il est entré après la dernière glaciation. Originaire des bassins hydrographiques du haut Danube et de la Volga. Largement introduit. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Salvelinus alpinus Origine : introduction. Europe et Amérique du Nord : circumpolaire. Islande, Scandinavie, nord de la Russie (absent dans les rivières se déversant dans la mer Baltique et la mer Blanche), Jan Mayen, Spitzberg, Kolguev, les îles Bear et New Zemblia, nord de la Sibérie, Alaska, Canada et Groenland ; absent dans les Alpes. Amérique du Nord : zones côtières des bassins hydrographiques de l'Atlantique, de l'Arctique et du Pacifique, de Terre-Neuve-et-Labrador au Canada jusqu'à l'Alaska ; vers le sud le long du talus atlantique jusqu'au Maine, aux États-Unis. Populations enclavées au Québec, au Canada et dans le Maine et le New Hampshire aux États-Unis.

Salvelinus fontinalis Origine : introduction. Amérique du Nord : originaire de la majeure partie de l'est du Canada, de Terre-Neuve-et-Labrador jusqu'à la côte ouest de la baie d'Hudson ; au sud dans les bassins de l'Atlantique, des Grands Lacs et du Mississippi jusqu'au Minnesota et au nord de la Géorgie (Applaches), aux États-Unis ; cours supérieur de la rivière Chattahoochee (bassin du Golfe). Largement introduit en Amérique du Nord et dans les régions tempérées d’autres continents. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Salvelinus umbla Origine : indigène. Europe : lacs alpins et subalpins en Italie (Trentin, Haut-Adige), en France (lac du Bourget), en Suisse, en Allemagne et en Autriche. Introduit dans de nombreux lacs d’altitude. Signalé en Suède.

Sander lucioperca Origine : introduction. Europe et Asie : bassins de la mer Caspienne, Baltique, Noire et Aral ; Bassins versants de l'Elbe (bassin de la mer du Nord) et de la Maritza (bassin de la mer Égée). Au nord jusqu'à environ 65°N en Finlande. Largement introduit. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Scardinius erythrophthalmus Origine : introduction. Eurasie : la plupart des fleuves européens au nord des Pyrénées et des Alpes, vers l'est jusqu'aux bassins hydrographiques de l'Oural et de l'Eya, les bassins de la mer d'Aral et de la mer Blanche ; Bassin de la mer Noire en Europe et nord de l’Asie Mineure. Naturellement absent de la péninsule ibérique, du bassin Adriatique, de l'Italie, de la Grèce au sud du bassin versant de Pinios, de la Grande-Bretagne au nord du 54° N, de l'Irlande et de la Scandinavie au nord du 62° N. Certainement absent en Sibérie. Les signalements de cette zone sont nés de la confusion entre le rotengle et le gardon. Introduit dans plusieurs pays. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Silurus glanis Origine : introduction. Europe et Asie. Bassins des mers Nord, Baltique, Noire, Caspienne et d'Aral, aussi loin au nord que le sud de la Suède et de la Finlande ; Bassin de la mer Égée à Maritza et des bassins hydrographiques de Struma à Sperchios ; Dinde. Absent du reste du bassin méditerranéen. Aujourd'hui largement introduit et transféré à travers l'Europe et le bassin du lac Balkhash au Kazakhstan. Plusieurs pays signalent un impact écologique négatif après l'introduction.

Squalius cephalus Origine : indigène. Eurasie : bassins du Nord, de la Baltique, du nord des mers Noire, Blanche, de Barents et de la Caspienne, bassins de l'Atlatinc vers le sud jusqu'aux bassins hydrographiques de l'Adour (France), Grande-Bretagne au nord jusqu'à 56°C, Scandinavie : sud de la Finlande, Suède au nord jusqu'à la limite de Stockholm. Bassin méditerranéen du Var à l'Hérault (éventuellement Aude) (France). Introduit ailleurs, Naturellement absent d'Italie et du bassin Adriatique.

La suite ...



Dernière édition par № 65 le Dim 28 Jan 2024 - 10:19, édité 1 fois

13pêche et survie Empty Re: pêche et survie Dim 28 Jan 2024 - 10:12

№ 65

№ 65

Squalius laietanus Origine : indigène. Europe : bassins hydrographiques de l'Èbre à Port Bou en Espagne ; Bassins du Tech et de l'Agly en France, éventuellement aussi Aude (Languedoc-Roussillon) ; introgression possible de Squalius cephalus dans les affluents sud de la Garonne et le bassin versant de l'Adour).

Syngnathus abaster Origine : indigène. Atlantique Est : du sud de la Gascogne jusqu'à Gibraltar, ainsi que la Méditerranée et la mer Noire. Introduit et établi dans l’ex-URSS.

Telestes souffia Origine : indigène. Europe : bassin méditerranéen des bassins versants de l'Aude au Var (France, Suisse) ; la littérature du système tarnais [drainage de la Garonne] fait en fait référence à l'Hérault [chacun a un affluent nommé Dourbie] ; drainage Soca en Italie et en Slovénie ; bassin hydrographique du Rhin supérieur en Allemagne et en Suisse ; Drainage du Danube dans les affluents occidentaux de l'Allemagne, de l'Autriche, de la Slovénie, de la Croatie et d'une partie de la Bosnie-Herzégovine, ainsi que dans le système supérieur de la Tisza (Roumanie, Ukraine). Signalement du bassin égéen en Bulgarie basé sur une identification erronée d'une espèce peut-être sans nom. Zone d'introgression à Telestes muticellus dans les bassins versants du Var (France) et de la Soca (Slovénie, Italie). Telestes souffia agassii est souvent appliqué aux populations du Danube et du Rhin, mais il n'existe aucune preuve publiée démontrant qu'elles diffèrent des populations du Rhône. Si cela est justifié, le nom correct pour une espèce Danube-Rhin serait Telestes rysela et non Telestes agassii.

Thymallus thymallus Origine : indigène. Europe : bassin de la mer de Barent à l'ouest de l'Oural, bassins de la mer Caspienne, noire, baltique, blanche et du Nord, Atlantique vers l'ouest jusqu'au bassin versant de la Loire ; Drainage du Rhône ; bassin nord de l'Adriatique, à l'est du bassin versant de la Soca. Introduit dans la majeure partie du sud et du centre de la Finlande.

Tinca tinca Origine : introduction. Asie, originaire de l'est jusqu'à l'ouest du bassin hydrographique de l'Ienisseï, au sud de 60°N. Introduit ailleurs. Eurasie : supposée être originaire de la majeure partie de l'Europe, naturellement absente uniquement en Irlande, en Scandinavie au nord de 61°30'N, dans l'est du bassin Adriatique et dans l'ouest et le sud de la Grèce où elle est maintenant introduite.


Umbra pygmaea Origine : introduction. Amérique du Nord : versants de l'Atlantique et du Golfe, depuis le sud-est de l'État de New York (y compris Long Island) jusqu'au bassin versant de la rivière St.Johns en Floride et à l'ouest jusqu'au bassin versant de la rivière Aucilla en Floride et en Géorgie, aux États-Unis. Introduit (mais très localisé) en Europe centrale et occidentale.

Vimba vimba Origine : introduction. Eurasie : bassins de la mer Caspienne, de la mer Noire, de Marmara et de la Baltique (Suède et Finlande au nord jusqu'à 63°N), bassin de la mer du Nord depuis les bassins hydrographiques de l'Elbe jusqu'à l'Ems. En Anatolie : dans le bassin de Marmara, au sud du Grand Menderes et du lac Egridir et à l'est du bassin versant de Kızılırmak. Absent entre les drainages de Kızılırmak et de Çoruh. Disparu de Crimée. Introduit dans le Rhin.

Zingel asper Origine : indigène. Europe : bassin versant du Rhône, hors bassin lémanique (France, Suisse). Initialement répandue, mais suite aux modifications de son habitat, sa répartition est désormais très fragmentée et restreinte. Principales populations subsistantes dans le Moyen Doubs (France, Suisse) et Durance et Ardèche (sud de la France).

Corazon à dit “Il y a maintenant des milliards de gobies (espèce invasive) qui nourrissent les carnassiers et les dernières années, on ne cesse de prendre plus de carnassiers et des plus gros.”


Si l'espèce devient invasive, sois elle trouve de la nourriture en abondance jusqu'à épuisement (se que nous fessons avec la terre), sois il y a un dérèglement du milieu naturel à déterminer. Mais je m'avance peut-être un peut ?

Si une espèce fourrage se développe massivement, il est normale que les prédateurs soit plus nombreux et de plus grosse taille. Se n'est une info, ni un argument.

Ne confondu pas Chabot, Gobies et Blennie ?
Le seul Gobie introduis dans ton Pays Neogobius melanostomus. Préfère les eaux peu profondes et saumâtres mais est également présent dans les eaux douces ; dans les lagons et les lacs, les grandes rivières, les ports, sur le sable ou le fond rocheux ; on le trouve principalement sur des fonds bien végétalisés ou rocheux. Peut tolérer une plage de température de 0 à 30 °C, mais prospère principalement dans les eaux tempérées chaudes ; capable de tolérer des eaux à faible teneur en oxygène pendant plusieurs jours. Ovipare, avec des œufs démersaux. Longévité jusqu'à 4 ans. Les ♂♂ se reproduisent pour la première fois à 3-4 ans, les ♀♀ à 2-3 ans. Période de frai d'avril à septembre ; les ♀♀ peuvent répéter le frai au cours d'une saison, tous les 18 à 20 jours ; corps des mâles entièrement noir durant cette saison. Œufs adhésifs déposés sur les pierres, les coquillages et les plantes aquatiques ; les ♂♂ gardent les œufs jusqu'à l'éclosion et meurent généralement après la saison de frai. Les couvées d'œufs sont censées être occasionnellement transportées attachées à la coque des navires, facilitant ainsi leur introduction dans d'autres zones. Se nourrit d’une grande variété d’invertébrés et de petits poissons, principalement de mollusques. En raison de sa grande taille, il a une valeur commerciale importante dans certaines régions, notamment dans la mer d'Azov. Il est généralement salé, séché et consommé avec de la bière.  

Corazon à dit “On constate aussi une énorme reproduction de gardons et d'aspes lors des été chauds. Cette dernière décennie années, on peut voir des plaques de plusieurs centaines de mètres d'alevins à la surface.”

Des températures un peut plus chaude peut provoquer des repros massive. Mais avec des températures qui vont monté par la suite (été), il y a forte chance à une hausse de la mortalité. Il est normale que les alevins vienne à la surface, c'est dans cette partie de la colonne d'eau ou il y a le plus d'oxygène, voir même pipe de l'air si il t un manque en oxygène.
Une chute brutal barométrique de la pression d'air (orage) peut réduire fortement le taux de l'oxygène. Une population piscicole peut être décimé en un rien de temps.

Sur le nombre d'alevins dans un frais, les cyprinidée font en général des grosses pontes de plusieurs milieux d'œufs, mais seulement 10 voir 20 font devenir adulte.

Malgré que tu as dire “C'est totalement impossible pour plusieurs raisons ! “ Sa ma fait beaucoup rire, parce-que j'ai beaucoup humour et un égo faible, se qui m'empêche pas d'être franc.

Je ne suis pas ichtyologue, mais une personne très éclairais sur le sujet. Je peux te faire une dissertation sur l'anatomie des poissons avec leurs variabilités. Le truc point que tu ne vas rien comprendre.

Se n'est le fait de mouille un fils de nylon avec quelque gramme d'acier dans l'eau, qui fait la connaissance des poissons et de leurs milieux.

Ah!! Si tu veux savoir se que sais un poisson, je t'invite à prendre contacte avec le Dr Gérald Basslleer sa tombe bien dans le coin de Liège.
J'ai plein de connaissance comme cela.

Je t'es apporté réponse point par point à se que tu ma dit avec peut d'indication, tout est vérifiable sur le net.

C'est pas ça être Modérateur, dire qu'une personne dit des bêtises, sans le démonté scientifiquement, sans la connaitre et savoir sont parcourt, j'appelle sa plus un Animositeur.

Les Poissons européen ne mon jamais trop intéresser, je préfère les prédateurs, ancien ou qui ont une particularité comportemental ou reproductive.

Je suis ouvert à toute personne qui veux savoir et avoir des informations sur les poissons et l'eau. C'est ça être modérateur et ouvert.

N°65

14pêche et survie Empty Re: pêche et survie Dim 28 Jan 2024 - 16:09

Teacher

Teacher
pêche et survie Rad1010
pêche et survie Empty

Toutes ces informations que tu as copiées-collées ont bien une source? Il faut la nommer, c'est une règle à suivre.
Et tu viens d'arriver, tu ne connais pas Corazon, qui de son côté en connaît un bout sur la pêche. Je t'invite à un peu plus de civisme.

https://www.youtube.com/channel/UCMu6qfiptG2XbXA8U-dca0w

15pêche et survie Empty Re: pêche et survie Dim 28 Jan 2024 - 20:02

№ 65

№ 65

Rien



Dernière édition par № 65 le Lun 29 Jan 2024 - 16:22, édité 1 fois

16pêche et survie Empty Re: pêche et survie Lun 29 Jan 2024 - 13:01

Corazon

Corazon
pêche et survie Rmod1010
pêche et survie Empty

N° 65 : ce n'est pas à moi de fournir des preuves de ton affirmation erronée : "La population piscicole à déjà était réduite à néant lors de la Grande famine de 1315-1317"  C'est toi qui affirme sans la moindre preuve !!!

Un rien de bons sens te permettrait de savoir que techniquement il était impossible d'avoir des relevés de la quantité de poissons présente dans les cours d'eau à cette époque !  A l'heure actuelle, les relevés se font principalement grâce à la pêche électrique et on sait pertinemment bien que cela n'est pas fiable du tout et encore moins (techniquement) applicable sur les grands cours d'eau.  En clair, à l'heure actuelle, on ne connait toujours pas la masse de poissons de nous cours d'eau.  On l'estime.

Tu prétends aussi qu'avec la montée en température nos poissons vont manquer d'oxygène.  Oui, le taux d'oxygène diminue avec l'augmentation de la température, mais on est encore très loin des hécatombes de poissons à cause de ce phénomène.  D'ailleurs, ces dernières années, la reproduction a été boostée à fond à cause de l'augmentation de la température de l'eau.  C'est un constat que tous les pêcheurs font !

A Tihange (centrale nucléaire), ils avaient des bassins d'élevages de carpes (le cyprinidé le plus courant), silures et tilapias DANS LEURS BASSINS d'EAU CHAUDE !!!  
https://cerer-pisciculture.be/fr/a-propos/
https://aquideas.fr/article174/centrale-nucleaire-et-production-aquatique-2-2  
C'est à la sorite de l'eau chaude que les rivières sont les plus poissonneuses.  C'est là qu'on pêche les silures et carpes records.

Je ne confonds pas les chabots, blennies et gobies.  Chaque pêcheur Wallon est censé reconnaitre ces espèces, car le chabot est hyper protégé, le gobie est une espèce invasive https://www.maisondelapeche.be/Fr/Quelles-especes-pecher--_13_3.html  
Et non, il n'y a pas qu'une seule sorte de gobies représentée en Belgique, il y en a au moins 3 : https://esoxiste.com/vivent-nos-eaux-gobie-nouveau-fleau-eaux-douces/

Ta publication des espèces : c'est très intéressant pour les scientifiques, mais ici, on s'en bat les c...  Ce qui intéresse les lecteurs, c'est comment pêcher, comment nettoyer du poisson, comment le cuisiner, ...  Pas la théorie, des faits.

Tu penses que les vrais pêcheurs ne regardent pas la température ou la pression atmosphérique, tu te trompes à nouveau.  Non seulement on tient compte de ces éléments, mais aussi de l'ensoleillement, de l'inclinaison du soleil, des phases de la lune, des espèces végétales bordant l'eau ou dans l'eau, des espèces d'insectes présentes, de la température de l'eau, de la direction du vent et de son intensité, de la turbidité de l'eau, de la couleur de l'eau, du nombre de m3/s de débit, du coefficient des marées, ...  C'est ça être un vrai pêcheur : une connaissance approfondie (sans absolument connaitre les noms latins des espèces, ni même leurs noms vernaculaires) du terrain et des conditions climatiques.

En résumé : il y a 2 genres de pêcheurs, ceux qui parlent du poisson (et font des copier/coller derrière leur clavier) et ceux qui en prennent (ceux qui sont sur le terrain).  Je laisse le lecteur choisir dans quel camp chacun de nous est  
lol!

17pêche et survie Empty Re: pêche et survie Lun 29 Jan 2024 - 16:21

№ 65

№ 65

Bizart ? j'ai des pécheurs qui vienne sur le plan d'eau a coté de chez moi et il font pas tout se que tu dit. D'ailleurs je n'est jamais vu un pêche faire se genre de relever.

la source ou j'ai pris est d'ailleurs pas très fiable, il y a beaucoup d'erreur.

Mais sa faire rien, je voie a qui j'ai à faire sur se forum.
Mais non je reste pas derrière mon clavier t'est un marrant toi!!!

18pêche et survie Empty Re: pêche et survie Lun 29 Jan 2024 - 17:12

Teacher

Teacher
pêche et survie Rad1010
pêche et survie Empty

Je pense que les vrais pêcheurs tiennent compte de tout ce que Corazon énumère sans faire de relevé écrit. C'est un instinct, ils le sentent intuitivement, se servent de leurs sens pour évaluer la situation. Ça donnerait quoi de faire des relevés précis et écrits, puisque d'un jour à l'autre, d'une heure à l'autre, tout peut et va changer?

https://www.youtube.com/channel/UCMu6qfiptG2XbXA8U-dca0w

19pêche et survie Empty Re: pêche et survie Mer 31 Jan 2024 - 19:48

Corazon

Corazon
pêche et survie Rmod1010
pêche et survie Empty

Je ne fais effectivement pas de relevé écrits, à part mes prises avec le lieu, le matériel. Le reste, c'est une question de mémoire et en général on ne partage ses expériences qu'avec ses meilleurs potes (tout comme les spots à champignons)

@N°65, si tu veux voir un pêcheur qui pêche comme moi, voici une chaine Youtube qui explique énormément : https://www.youtube.com/@UliBeyersKoderkunst/videos Je le suis depuis des années et il confirme à chaque fois mes expériences. C'est en allemand, mais si tu ne le comprends, pas tu peux afficher les sous-titres automatiques et les faire traduire en français, je suis certain que >90% seront bine traduits.

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