Salut !
Il y a quelques semaines, j’ai fait une petite rando’ au Puy de Sancy, sommet du Massif Central culminant à 1885m et volcan le plus haut de métropole si je ne me trompe pas.
Le site annonçait une randonnée de difficulté moyenne, et bien autant vous prévenir, les débutants que nous sommes ne sont pas de cet avis ! La montée se fait via un chemin large mais très caillouteux et évidemment sans aucune ombre (piste de ski oblige) et la descente consiste en un sentier en bord de falaise, jonché de roches instables. Si vous avez le vertige, passez votre chemin. Vraiment ! Cependant, la faune et la flore y sont d’une grande richesse, les amoureux de photos seront sûrement ravis !
Mais la vue… oh, la vue… Rien de plus beau que d’arriver à plus de 1800 mètres d’altitude un jour aussi ensoleillé que celui-là. On surplombe tout. Villes, villages, champs, Puy-de-Dôme… Paraît-il que de là, on peut voir un septième du territoire métropolitain, j’avoue ne pas savoir si c’est vrai, mais ça n’est est pas moins époustouflant !
De me vie je n’avais jamais été aussi haut. En montant j’ai compris pourquoi ! Mais arrivée en haut, j’ai surtout compris pourquoi je montais.
Je ne sais pas si nous nous sommes trompés de parcours ou si nous avons marché bien en deçà des 3,5 km/h indiqués sur le site (je penche plutôt pour cette dernière option) mais nous avons mis 7h30 pour faire la boucle. Il faut dire qu’en pleine canicule, les « pauses flotte » se succédaient à vitesse grand V, et même au sommet, le mercure dépassait les 30 degrés !
Pour celles et ceux qui souhaitent y aller :
Les chiens sont interdits par endroit, le site étant très protégé.
Bien qu’il y ait une cafétéria en haut du téléphérique, la seule eau potable que vous trouverez est payante et en bouteille plastique.
Le soleil tape manifestement bien plus fort en altitude qu’en pleine… je l’ai appris à mes dépens.
Les bâtons de marche ne sont pas inutiles (j’ai beaucoup apprécié les miens !) mais sur certains passages il est plus sage de les rétracter et les accrocher au sac à dos. Donc les bâtons en bois (type bâton de pèlerin, je ne suis peut-être pas très claire) peuvent s’avérer encombrants.
J’espère que vous appréciez les paysages qui s’offrent à vous autant que j’ai apprécié ceux là.
Il y a quelques semaines, j’ai fait une petite rando’ au Puy de Sancy, sommet du Massif Central culminant à 1885m et volcan le plus haut de métropole si je ne me trompe pas.
Le site annonçait une randonnée de difficulté moyenne, et bien autant vous prévenir, les débutants que nous sommes ne sont pas de cet avis ! La montée se fait via un chemin large mais très caillouteux et évidemment sans aucune ombre (piste de ski oblige) et la descente consiste en un sentier en bord de falaise, jonché de roches instables. Si vous avez le vertige, passez votre chemin. Vraiment ! Cependant, la faune et la flore y sont d’une grande richesse, les amoureux de photos seront sûrement ravis !
Mais la vue… oh, la vue… Rien de plus beau que d’arriver à plus de 1800 mètres d’altitude un jour aussi ensoleillé que celui-là. On surplombe tout. Villes, villages, champs, Puy-de-Dôme… Paraît-il que de là, on peut voir un septième du territoire métropolitain, j’avoue ne pas savoir si c’est vrai, mais ça n’est est pas moins époustouflant !
De me vie je n’avais jamais été aussi haut. En montant j’ai compris pourquoi ! Mais arrivée en haut, j’ai surtout compris pourquoi je montais.
Je ne sais pas si nous nous sommes trompés de parcours ou si nous avons marché bien en deçà des 3,5 km/h indiqués sur le site (je penche plutôt pour cette dernière option) mais nous avons mis 7h30 pour faire la boucle. Il faut dire qu’en pleine canicule, les « pauses flotte » se succédaient à vitesse grand V, et même au sommet, le mercure dépassait les 30 degrés !
Pour celles et ceux qui souhaitent y aller :
Les chiens sont interdits par endroit, le site étant très protégé.
Bien qu’il y ait une cafétéria en haut du téléphérique, la seule eau potable que vous trouverez est payante et en bouteille plastique.
Le soleil tape manifestement bien plus fort en altitude qu’en pleine… je l’ai appris à mes dépens.
Les bâtons de marche ne sont pas inutiles (j’ai beaucoup apprécié les miens !) mais sur certains passages il est plus sage de les rétracter et les accrocher au sac à dos. Donc les bâtons en bois (type bâton de pèlerin, je ne suis peut-être pas très claire) peuvent s’avérer encombrants.
J’espère que vous appréciez les paysages qui s’offrent à vous autant que j’ai apprécié ceux là.