l'aspect "survie" ne m'avait pas échappé !
Comme tu disais "c'est évidemment un truc à adopter en dernier recours".
Je me disais seulement qu'il y a peut-être lieu, dans la mesure du possible, d'éviter justement que cela devienne le "dernier recours" et donc :
- de prévoir des récipients dans les kits en tous genre ;
- de se renseigner aussi sur les méthodes alternatives (pierres chauffées dans l'eau dans un contenant en bois etc) qui pourraient être mise en œuvre si la situation le permet ;
Sur les tests : probants, pas probants, je ne sais pas, et je ne vais pas me lancer avec toi dans un grand débat là-dessus, parce que je ne suis pas spécialiste du sujet et parce qu'en matière de survie, j'ai plutôt tendance à te faire confiance.
Maintenant, il me semble que si, en effet, ça ne saute pas aux yeux, c'est notamment parce que les quantités en jeu sont minuscules (arrête moi si je dis des bêtises, mais on est souvent au niveau de la mesure de détection et avec des chiffres en partie par million), mais que l'on est quand même à une époque où on sait qu'un signal faible peut aller de pair avec l'existence d'un risque significatif.
A cet égard, il me semble aussi qu'il y a une tendance [ok, c'est peut-être plus politique que scientifique, et ça va peut-être avec une époque un peu paranoïde, je n'en sais rien] à se méfier de plus en plus des plastiques. La réglementation sur le BPA a finalement évolué... après qu'on ait répété pendant des années que les tests n'étaient "pas probants".
Dernier point : dans l'hypothèse où l'on devrait utiliser du plastique dans ces conditions, et si l'on doit choisir, il ne me semble pas inintéressant de savoir que tous les plastiques n'ont pas la même toxicité avérée ; les types 3, 6 et 7 ("autres") semblant les plus nocifs : http://www.thedailygreen.com/green-homes/eco-friendly/plastic-bottles-toxins-water-bottles-460410
amicalement
f(x)
Comme tu disais "c'est évidemment un truc à adopter en dernier recours".
Je me disais seulement qu'il y a peut-être lieu, dans la mesure du possible, d'éviter justement que cela devienne le "dernier recours" et donc :
- de prévoir des récipients dans les kits en tous genre ;
- de se renseigner aussi sur les méthodes alternatives (pierres chauffées dans l'eau dans un contenant en bois etc) qui pourraient être mise en œuvre si la situation le permet ;
Sur les tests : probants, pas probants, je ne sais pas, et je ne vais pas me lancer avec toi dans un grand débat là-dessus, parce que je ne suis pas spécialiste du sujet et parce qu'en matière de survie, j'ai plutôt tendance à te faire confiance.
Maintenant, il me semble que si, en effet, ça ne saute pas aux yeux, c'est notamment parce que les quantités en jeu sont minuscules (arrête moi si je dis des bêtises, mais on est souvent au niveau de la mesure de détection et avec des chiffres en partie par million), mais que l'on est quand même à une époque où on sait qu'un signal faible peut aller de pair avec l'existence d'un risque significatif.
A cet égard, il me semble aussi qu'il y a une tendance [ok, c'est peut-être plus politique que scientifique, et ça va peut-être avec une époque un peu paranoïde, je n'en sais rien] à se méfier de plus en plus des plastiques. La réglementation sur le BPA a finalement évolué... après qu'on ait répété pendant des années que les tests n'étaient "pas probants".
Dernier point : dans l'hypothèse où l'on devrait utiliser du plastique dans ces conditions, et si l'on doit choisir, il ne me semble pas inintéressant de savoir que tous les plastiques n'ont pas la même toxicité avérée ; les types 3, 6 et 7 ("autres") semblant les plus nocifs : http://www.thedailygreen.com/green-homes/eco-friendly/plastic-bottles-toxins-water-bottles-460410
amicalement
f(x)
Dernière édition par f(x) le Mer 12 Déc 2012 - 16:52, édité 1 fois (Raison : orthogr)