Mouais, donc jusqu'au bout nous n'aurons jamais eu de source, d'argument ou de preuve.
Un point à préciser, puisque tu as fini par des arguments ad hominem avec :
puisque certains d'entre vous s'en gargarisent
Mon but sur le forum, comme bon nombre de membres, est d'échanger des informations tangibles et de donner des grilles de lecture dans les domaines que je pense maitriser un minimum, pas de chercher la gloire ou "me faire mousser/gargariser".
C'est un travail qui prend des heures, pour éviter que certains sujets de forums soient noyés dans la bêtise.
Cela me fait souvent mal de démonter des théories ou des idées, car je sais que cela brise un peu des rêves ou des motivations, je c'est amha nécessaire pour éviter aux membres des routes pavées de mauvaises intentions.
Je préfèrerais largement terminer mes topics de brassage de la bière, de compteurs geiger DIY, de fabrication de générateurs solaires et à dynamo que passer mon temps sur ce topic.
Mais j'interviens dessus car je trouve que le sujet de l'eau est primordial sur des forums tels qu'IDS, et qu'il mérite un traitement sérieux dénué de trucs complotistes; c'est ce qui fait amha la qualité de ce forum dans le sens où chacun apporte sa pierre pour éclairer la lanterne des autres.
Donc je me permets de répondre aussi bien à un message, un MP, un mail ou à un "invité", car ce qui compte, ce n'est pas notre conversation (je ne cherche plus à te convaincre), mais à expliquer aux lecteurs (qui m'ont d'ailleurs demandé une grille de lecture de notre échange) où est le problème avec les propos anti-scientifiques comme les tiens.
switch1 a écrit:
DONC allez chercher les analyses qui se trouvent dans les bibliothèques scientifiques
Preuves : les analyses faites il y a une dizaine d'années par le labo Montagnier (cherchez vous-mêmes)
Le "
cherchez vous même" est une technique d'argumentation très malhonnête dans un échange, car elle évite à celui que l'on questionne d'être précis, de pouvoir être contredit sur un point en particulier.
Surtout que les recherches de type "Montagnier"+"SODIS" ou "Montagnier"+"disinfection" voire "Montagnier"+"UV" ne retournent strictement rien qui valide ton propos.
Pourtant, je pense être en mesure de trouver assez rapidement en général ce que je cherche au niveau des études scientifiques sur un sujet, via des grilles ou des moteurs de recherche spécifiques. Donc pour un membre du forum qui ne les a pas, cela devient carrément impossible et il faudrait croire tes propos douteux sur parole.
Je peux tout aussi bien raconter le contraire :
"Ce que tu dis est faux, des tas d'études le prouvent, comme celle du Labo Pinderschlass il y a des années, va chercher sur le net toi même !"Ça a du sens ?
switch1 a écrit:
Le point était que les UV sur le PET (sodis financé par une fondation émanant d'une industrie qui produit le PET et qui a sorti les analyses contradictoires-le contrôlé contrôleur > très objectif n'est-ce pas) provoquent le dégagement de particules toxiques par cette exposition prolongée !!!!
Le dégagement des particules est reconnu avec SODIS, mais elles sont inférieures aux standards de potabilité. Tu sembles ignorer que l'eau est polluée un peu partout dans le monde, et également en France.
switch1 a écrit:
Et dans le cas de ce qui était suggéré dans les posts suivants que les bouteilles mises au feu !!! produisaiet de l'eau chaude - ce à quoi je suggérait en tout bon sens de ne pas utiliser cette eau à des fins alimentaires (donc quelle utilité?)
Non, j'ai, et tu as réagi à SODIS,
switch1 a écrit:(ceci à propos de SODIS dont je publiais le lien)
switch1 a écrit:
J'en profite pour vous signalez que je quitte le forum.
De manière assez curieuse, la démarche de demander des preuves ou des arguments génère la plupart du temps ce genre de comportement : rejet, "va chercher toi même", "je me désinscris."
En gros, tu te décrédibilises pour quiconque a un peu de bon sens et de démarche scientifique (qui consiste à ne pas gober n'importe quoi).
C'est à dire que, face à un contradicteur, cela part tout de suite à l'extrême sans jamais avoir avancé une once de discussion argumentée.
Pourtant, ce n'est pas compliqué, si tu es si sûr de tes sources et tes arguments, il aurait suffit de les exposer ici, on aurait eu de la substance à comprendre (et débattre) sur ce que tu avances.
Les internautes qui agissent ainsi sont amha les plus nombreux, mais heureusement assez facile à contredire : demander des preuves, les analyser, etc.
Car le vrai danger, ce sont les personnes qui maitrisent très bien leur domaine, au point d'y introduire insidieusement à peu près tout ce qu'ils souhaitent pour orienter le débat.
Quelque part, je pourrais presque démonter SODIS avec de faux arguments en carton qui pourraient paraître très crédibles; c'est ce à quoi je m'attendais ici, mais nous n'avons pas franchi l'étape de l'argumentation.
Enfin bon juste pour rire, je vous renvoie au sujet du monoxyde de dihydrogène sur le site:
culturesciences.chimie.ens.fr (Site de ressources en chimie pour les enseignants)
http://culturesciences.chimie.ens.fr/content/le-monoxyde-de-dihydrog%C3%A8ne-un-danger-m%C3%A9connu
Le Monoxyde de Dihydrogène (ou DHMO, acronyme de l’anglais DiHydrogen MonOxyde) est un composé chimique peu connu du grand public, pourtant omniprésent. Il présente de réels risques à l’usage et n’est répertorié dans aucune des classifications de produits chimiques dangereux.
Ce produit incolore et inodore est aussi connu sous les noms d’oxyde de dihydrogène, d’hydroxyde d'hydrogène, d’hydroxyde d'hydronium, ou simplement d’acide hydrique [1].
De nombreuses études ont révélé la présence de DHMO aux alentours des centrales nucléaires francaises et européennes, ce qui sous-entend que ce matériau est rejeté dans la nature en toute impunité étant donné l’absence de legislation sur ce composé [4].
L’agriculture est sans aucun doute le secteur d’activité utilisant le plus le DHMO. En effet, nous avons déjà vu qu’il est indispensable à la production de pesticides, herbicides, fongicides et d’engrais azotés. Les traces résiduelles de DHMO dans ces composés peuvent à elles seules soulever des craintes. De plus, des recherches récentes montrent que son ajout en grande proportion à ces mêmes produits facilite grandement leur diffusion [7]. Ce procédé est à l’heure actuelle généralisé, et la totalité des produits chimiques utilisés en agriculture contiennent du DHMO.
Le DHMO est largement présent dans la production de biens de consommation. De là à envisager que l’on trouve des traces de monoxyde de dihydrogène dans les produits de grande consommation il n’y a qu’un pas. Plusieurs études tendent à le prouver [8] mais rien qui ne fasse grand bruit pour le moment. Mais alors, si ces traces sont préoccupantes, que penser des produits dans lesquels le DHMO est ajouté pur ?
Ainsi, le DHMO est présent dans la quasi-totalité des produits d’entretien ménager en raison de son moment dipolaire élevé facilitant la solvatation des principes actifs [9]. Plus inquiétant encore, il apparaît maintenant de façon quasi systématique dans les cosmétiques, notamment dans les shampoings et gels douches en tant qu’adjuvant désormais incontournable et cela avec une information très limitée voire inexistante auprès des consommateurs.
Il semblerait enfin qu’il soit présent dans l’agroalimentaire même. Des études ont montré sa présence dans des sodas, ces mêmes sodas dont la consommation répétée augmente les risques d’avoir un des cancers les plus graves qui soit, le cancer du pancréas [10].
Son utilisation dans les produits alimentaires se généralise comme additif aux pots pour bébé ou même dans des jus fruits pourtant étiquetés « 100% naturel ».
Le monoxyde de dihydrogène peut également causer de graves brûlures lors d’une exposition prolongée de sa forme gazeuse ou sa forme solide [13].