Le week-end dernier a eu lieu le premier stage perdition organisé par Esprit Nature et Survie.
Le principe était de mettre les stagiaires en situation dégradé avec un facteur stress qui était l'ignorance du lieu où nous les avons déposé.
Chaque stagiaire avait avec lui son kit de survie avec obligation d'avoir un litre d'eau minimum.
Sur certaines photos, vous pouvez voir qu'ils ont un sac à dos avec sac de couchage, nourriture et vêtements de rechange. Ces sacs étaient en backup en cas de problème majeur et n'ont donc pas été utilisés.
Le stage a débuté par une matinée en salle où chaque stagiaire nous a présenté ses choix dans la conception du kit plus un rappel des règles du stage.
Ensuite, nous avons posé un bandeau sur les yeux des stagiaires avant de les prendre en voiture vers un lieu tenu secret
Durant le trajet, certains relâchent leur stress en parlant et en essayant d'analyser le parcours grâce aux odeurs, bruits et changements de luminosité (une stagiaire à découvert que nous étions dans la neige, que nous avons traversé un ruisseau et longé une rivière....alors que nous étions sur le Causse Noir en plein milieu aride). D'autres en profitent pour dormir.
Installation du bivouac d'urgence avant une nuit qui descendra à -2°
La nuit fut relativement confortable avec une température dans l'abri oscillant entre 7 et 18° selon la puissance du feu. Par contre, ils ont découvert l'importance de prévoir une isolation suffisante du sol pour éviter le froid par conduction.
Le matin, certains font même la grasse matinée...
Durant toute la nuit, l'équipe ENS veille à peu de distance afin d'assurer la sécurité du groupe
Le lendemain, concertation sur la direction à prendre pour retrouver la civilisation
Une fois la civilisation retrouvé, chacun sort enfin son repas après plus de 28 heures de jeûne et la digestion est dure
Certains se sont essayé au feu à l'archet
Ce stage a bien été apprécié par les participants malgré quelques petits défauts de jeunesse qui auront disparus lors de l'édition 2017.
Pour les participants, dans le futur, le facteur stress du à une nuit dehors avec très peu de matériel ne sera plus qu'un ancien souvenir.
Le principe était de mettre les stagiaires en situation dégradé avec un facteur stress qui était l'ignorance du lieu où nous les avons déposé.
Chaque stagiaire avait avec lui son kit de survie avec obligation d'avoir un litre d'eau minimum.
Sur certaines photos, vous pouvez voir qu'ils ont un sac à dos avec sac de couchage, nourriture et vêtements de rechange. Ces sacs étaient en backup en cas de problème majeur et n'ont donc pas été utilisés.
Le stage a débuté par une matinée en salle où chaque stagiaire nous a présenté ses choix dans la conception du kit plus un rappel des règles du stage.
Ensuite, nous avons posé un bandeau sur les yeux des stagiaires avant de les prendre en voiture vers un lieu tenu secret
Durant le trajet, certains relâchent leur stress en parlant et en essayant d'analyser le parcours grâce aux odeurs, bruits et changements de luminosité (une stagiaire à découvert que nous étions dans la neige, que nous avons traversé un ruisseau et longé une rivière....alors que nous étions sur le Causse Noir en plein milieu aride). D'autres en profitent pour dormir.
Installation du bivouac d'urgence avant une nuit qui descendra à -2°
La nuit fut relativement confortable avec une température dans l'abri oscillant entre 7 et 18° selon la puissance du feu. Par contre, ils ont découvert l'importance de prévoir une isolation suffisante du sol pour éviter le froid par conduction.
Le matin, certains font même la grasse matinée...
Durant toute la nuit, l'équipe ENS veille à peu de distance afin d'assurer la sécurité du groupe
Le lendemain, concertation sur la direction à prendre pour retrouver la civilisation
Une fois la civilisation retrouvé, chacun sort enfin son repas après plus de 28 heures de jeûne et la digestion est dure
Certains se sont essayé au feu à l'archet
Ce stage a bien été apprécié par les participants malgré quelques petits défauts de jeunesse qui auront disparus lors de l'édition 2017.
Pour les participants, dans le futur, le facteur stress du à une nuit dehors avec très peu de matériel ne sera plus qu'un ancien souvenir.