[IDS Sud] Sortie des 5C

Je confirme les propos de Trois Flèches. J'ai acheté des bâtons télescopiques. Si besoin, j'utilise pour la marche, si pas besoin, rangé sur le côté du sac et surtout cela me sert de piquet au niveau des tarps.

super le retex la ballade a du etre joyeuse du moins surement à la veillée

Homme Gris a écrit:
Voici le matériel "5c" que j'avais emporté :
- gourde inox 500ml avec son quart inox

Salut,

Les causes du mal au genoux peuvent être multiples. Si on exclu les "malformations", Kasmodian a pointé vers la cause la plus commune : manque d'entrainement et donc musculature insuffisante.


D'autres causes peuvent être relevées (infections cachées, blessures mal soignées, surentrainement,  chaussure inadapté, dentition...)

A cela s'ajoute, si on est sujet aux problèmes articulaires, souvent un manque d'hydratation qui crée un terrain propice à l'inflammation lors de l'effort. Dans cette optique, compte tenu du programme, 500ml c'est vraiment peu.

Dentition ?

Kilbith a écrit:

Homme Gris a écrit:
Voici le matériel "5c" que j'avais emporté :
- gourde inox 500ml avec son quart inox

Salut,

Les causes du mal au genoux peuvent être multiples. Si on exclu les "malformations", Kasmodian a pointé vers la cause la plus commune : manque d'entrainement et donc musculature insuffisante.


D'autres causes peuvent être relevées (infections cachées, blessures mal soignées, surentrainement,  chaussure inadapté, dentition...)

A cela s'ajoute, si on est sujet aux problèmes articulaires, souvent un manque d'hydratation qui crée un terrain propice à l'inflammation lors de l'effort. Dans cette optique, compte tenu du programme, 500ml c'est vraiment peu.

Il faut savoir que dans le massif du Caroux tu as de l'eau quasiment partout et Joe le savait avant de partir puisqu'on avait déjà partager une rando engagée là-bas. Aussi je pense qu'ils savaient qu'ils avaient de l'eau en quantité sur ce site.
Ceci dit, comme tu le soulignes si bien, un contenant d'au moins un litre est plus adapté à ce genre d'aventure lorsqu'on ne connait pas parfaitement l'endroit où on va évoluer.

Pour répondre en vrac :

oui nous avions tous des bâtons sauf Joe. Pour nous 4 c'était la première fois que nous les utilisions il me semble. Et pour les descentes et quelques montées, ça s'est avéré très utile en effet, surtout avec la fatigue et le manque de sommeil. Sans parler de l'utilisation possible pour l'abri ou pour faire un brancard, une atèle etc...

Concernant Arnaud (H.G.) en effet si la rando avait dû être plus longue, nous aurions encore pu le porter en brancard afin qu'il arrête d'appuyer sur son genoux. Ou tout simplement rejoindre le hameau le plus proche afin de le déplacer en véhicule vers un médecin.

ben.

Tibaldog a écrit:Pour répondre en vrac :

oui nous avions tous des bâtons sauf Joe. Pour nous 4 c'était la première fois que nous les utilisions il me semble.
ben.

C'est Arnaud qui n'avait pas de bâton, je lui ai passé le mien. Que j'ai toujours avec moi quel que soit le terrain.

@Trois Flèches :
Je n'ai personnellement pas eu l'impression qu'une corde de sécurité eu été réellement indispensable. Après, je ne suis pas particulièrement sensible au vertige (sauf aplomb particulièrement raide et profond). Et puis je n'y connais absolument rien en grimpe, donc peut-être que je me fourvoie. Les photos ont tendance à rendre les à pic plus pentus qu'ils n'étaient en réalité.

Pour la refente, nous avions tous de bons fixes sur nous. Ç’aurait été fastidieux, mais ça n'aurait pas posé plus de problèmes que ça je pense. Par contre, je pense qu'une absence totale de scie aurait posé un problème plus handicapant.

@ Branch,

si tu savais les problèmes de santé connexes que tu peux choper suite à une mauvaise dentition , à des dents mal soignées.

C'est pour moi un impératif : la première chose à faire avec une crise/souci c'est de prendre RDV avec son dentiste pour un bilan..

Je te fais grâce des cochonneries annexes dues aux dents pour ma part...

@ Kilbith :
A cela s'ajoute, si on est sujet aux problèmes articulaires, souvent un manque d'hydratation qui crée un terrain propice à l'inflammation lors de l'effort.

Pour ma part, je confirme ce point... Je transpire comme un malade et donc me déshydrate autant.. j'ai oublié de boire régulièrement la dernière rando, mal comme un chien au genou gauche, cela m'a rappelé à l'ordre pour boire... peu de temps après douleur disparue...

Jökull a écrit:

Tibaldog a écrit:Pour répondre en vrac :

oui nous avions tous des bâtons sauf Joe. Pour nous 4 c'était la première fois que nous les utilisions il me semble.
ben.

C'est Arnaud qui n'avait pas de bâton, je lui ai passé le mien. Que j'ai toujours avec moi quelques soit le terrain.

ça me semblait bizarre que tu n'aies pas pris ton bâton

Kasmodian a écrit:@Trois Flèches :
Je n'ai personnellement pas eu l'impression qu'une corde de sécurité eu été réellement indispensable. Après, je ne suis pas particulièrement sensible au vertiges (sauf aplomb particulièrement raide et profond). Et puis je n'y connaît absolument rien en grimpe, donc peut-être que je me fourvoie. Les photos ont tendance à rendre les à pic plus pentus qu'ils n'étaient en réalité.

Pour la refente, nous avions tous de bon fixe sur nous. Ç’aurait été fastidieux, mais ça n'aurait pas posé plus de problèmes que ça je pense. Par contre, je pense qu'une absence totale de scie aurait posé un problème plus handicapant.

Fastidieux, long et fatigant, surtout quand tu ne manges rien pendant plus de vingt heures. Connaissant le massif, j'aurais bien voulu te voire bâtonner du chêne vert du buis ou des cades .

Si je ne devais avoir qu'un outil, de la hache, du couteau ou de la scie, ce serait assurément la hache mais évidemment ce sont des choix qui sont très personnels à chacun.

Moi je me sens beaucoup plus à l'aise avec un couteau de camps, mais c'est personnel. Après, pour le coup, les essences autour c'était surtout du hêtre et du châtaignier. Beaucoup moins problématique à bâtonner.

Pour ce qui est de la dentition, c'est un peu ma spécialité et j'abonde dans le sens de Jlb73. Vraiment vous n'avez pas idées. J'ai des tas d'exemples qui seraient trop longs à développer ici, mais sachez que bon nombres d'atteintes chroniques aux articulations et au dos proviennent souvent d'un problème dentaire.

D'ailleurs, j'en parle un peu ici

Pour ma part, je me serais contenté de ramasser le bois mort et de faire tomber du mort sur pied qui ne tient pas (fait sur place).
Delà je n'aurais pas gaspillé l'energie à le refendre ou le couper en tronçons,, je l'aurais fait avancer sur le feu .

Si le bois était trop mouillé, je me serais passé de feu et j'aurais cherché plutôt un confort de couchage abrité du mieux possible afin de récuperer de la journée.
Donc pour moi pas de hache ou de gros couteau. A la limite (ce que je viens d'acheter) un couteau suisse avec une lame de scie qui permet de couper des branches mortes jusqu'a 5 cm de diametre.

Trois Flèches: P.E n'avait que la tête de hache, le manche a été fabriqué sur place.

un couteau suisse avec une lame de scie qui permet de couper des branche morte jusqu'a 5 cm de diametre.

Tant que cela au niveau diamètre ? Je ne pensais pas que je pouvais couper aussi épais avec la scie de mon couteau suisse mais te connaissant, tu as surement pratiqué pour avoir dit ce diamètre.

Tu confirmes ?

Oui c'est confirmé bien sur.

ben.

Pour l'avoir vécu et il me semble pour en avoir discuté avec Ben, je mets au défi quiconque de faire un feu qui dure et qui chauffe avec des sections de cinq centimètres de diamètre qui ont pris la pluie pendant plusieurs jours, même prises sur pied. L'énergie gaspillée à refendre est nettement moins importante que l'énergie gaspillée tout au long de la nuit par le corps pour essayer de se réchauffer en l'absence de feu.

Par rapport au dernier perdition d'ENS, -1°C la nuit, crois moi Joe, sans feu et dans les conditions où vous êtes partis, les mêmes que les nôtres, tu ne trouves pas de confort et tu ne récupères pas de ta journée.

D'ailleurs ça serait marrant d'espérer organiser un weekend du même style avec des conditions complètement pourraves, humides à mort et de préférence sous la flotte pendant deux jours. Les différents choix d'outils ou d'attitudes seraient très vérifiables et très instructifs.

Attention, je ne parle uniquement que dans le scénario qu'on a fait. Je reste cohérent avec mon Matos. Je ne me vois pas partir en rando en mode mul et avoir un kit qui fait les trois quarts du poids de mon sac.
Dans le scénario, il n'y avait aucune chance qu'on reste plus longtemps.
L'idée du scénario était de partir faire une boucle autour du refuge en sous estimant la dureté et la durée du parcours. Nous obligeant ainsi à passer la nuit dehors et finir la boucle le lendemain car trop dangereux de nuit.
Là il faisait 7 degrés, ne compare pas ce qui n'est pas comparable.
En hiver, cela aurait été tout autre.
Mais 7 degrés et le bois mouillé, je confirme que je ne gaspille pas mon énergie au feu mais plus à l'abri.

J'ai oublié de préciser que quand le froid m'a saisi ( juste au jambes), cela n'était que lorsque j'étais en dehors de mon abri sans quoi je n'ai pas eu froid dessous et j'ai même je pense plus dormi et récupéré que mes camarades.

C'est clair qu'en rando je ne m'amuse pas non plus à emmener la hache surtout nous qui aimons marcher léger mais pour faire une petite aventure telle que vous l'avez vécu par temps de pluie ou en situation dégradée, elle serait pour moi incontournable. Encore une fois ce n'est qu'un avis personnel et ce qui parait évident pour l'un ne le sera pas forcément pour un autre.

En situation dégradée, je rejoins l'avis de Trois Flèches pour la hache... Drôlement efficace !
Je la prends pour mes randos. Etant en appartement, c'est l'occasion pour moi de m'entrainer à utiliser cet outil pas si intuitif à utiliser si on ne veut pas se blesser et être efficace.
Merci à Jokull d'avoir reprécisé le contexte de la sortie et de la confirmation de Ben.

je pense qu'en situation degradée un bon abri presque clos sera plus sûr qu'essayer de faire un feu surtout si on prend les conditions météo que l'on peut avoir  en novembre dans le sud-est: pluie diluvienne + vent. Quand il tombe 10 cm d'eau  au metre carré/ heure  le feu est impossible.Et si tu mets une petite bougie chaufffe plat sous ton abri en faisant super attention  tu seras plus au chaud très vite

J'en déduis que ton abri ne sera pas fait à partir de bois

Il est clair que si c'était dans une optique plus bushcraft, j'aurais opté pour une scie et un couteau de camp. Mais aussi des vêtements en coton et laine.

Là j'ai vraiment voulu jouer le jeu du randonneur Mul qui doit se démerder avec son kit minimaliste Mul.

Pour la prochaine mise en situation, je vois bien un truc du genre pas de matériel technique ( filtre à eau, poncho....) Que de l'outillage et une grabber. Donc abri naturel obligatoire, filtration et purification de l'eau...

Je rejoins ton avis Secouriste

non tarp et poncho tarp pour le fermer parce qu'avec un vent tournant tu risque d'etre trempé dans la nuit.par contre faut surveiller la bougie je la pose sur le sol la ou il ya pas de grabber en gros sur la terre nue

jokull je suis d'accord avec toi une scie en sortie buscraft c'est utile. aprés c'était pas le propos de votre sortie .