Pour établir une préparation, il y'à deux réflexions à apporter. Il faut dans premier temps établir les problèmes qui risquent de nous arriver, en les classant par ordre de probabilité. Ensuite, dresser la liste des préparatifs à faire pour y pallier.
Par exemple Smeety, mon analyse est différente de la tienne. Je pense que nous sommes trop avancés maintenant, socialement et économiquement, pour voir un jour revenir le troc comme seul et unique moyen d'échange. Je pense qu'il y'aura toujours des valeurs faciales qui deviendront la monnaie alternative et provisoire le temps d'en voir arriver une nouvelle.
J'ai donc, comme je le disais plus haut, établi mes préparatifs en fonction de ce qui me semble être le plus probable. Ayant recentré ceux-ci sur des choses précises et peu nombreuses, j'ai pu être à même de développer un certain degré de préparation me permettant d'un peu mieux dormir la nuit
Je ne sais pas trop quoi penser du pillage. Si on parle d'une pharmacie abandonnée avec des stocks conséquents, il est fort probable que j'y aille en cas de besoin. Je parlerais donc d'un pillage "blanc", un pillage qui ne fait de mal à personne et qui tire les bénéfices de ressources laissées à l'abandon. En revanche je serais bien moins convaincu à l'idée de faire un pillage "rouge", de prédation, en me repaissant de mon semblable pour survivre. C'est très dangereux, et risquer de se prendre une décharge une chevrotine pour une boîte de fayots, très peu pour moi. De plus, cela demande des compétences que peu de personnes maîtrisent; s'imaginer déambuler de maison en maison, 12 ou pied de biche au bras, pensant racketter son prochain ,c'est digne des navets post-apo Hollywoodien. Cela va à l'encontre même du principe de préparation, car ça la rend, de fait, caduque. C'est d'ailleurs l'intérêt des préparatifs que de pouvoir jouir d'une autosuffisance pour un temps donné. Dans ce cas, il suffit d'étendre sa préparation pour être autosuffisant au-delà d'une période qu'on aura détérminée.